1. Le gîte forestier


    Datte: 07/05/2018, Catégories: fhh, alliance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, tutu, Auteur: Tanis, Source: Revebebe

    ... vrillant ton annulaire entre les fesses. Ton geste me raidit brusquement et une brusque poussée de mes reins t’envoya ma verge au fond de la gorge. Tu avais d’abord senti une certaine crispation de mes muscles, peu familiarisé à une telle perception, puis très vite un alanguissement avait fait place à une série de petites contractions sur ton doigt. Alors celui-ci commença à s’agiter, frétillant…et d’une poussée ton index rejoignit ton annulaire déclenchant dans mon anus une première série de spasmes affolants… Sentir tes doigts progressant en moi, m’ouvrant, me jeta au bord de l’orgasme…
    
    Non ! Pas encore ! C’est trop bon ! C’est merveilleux… Se sentir investi, pénétrer, rempli, plein m’apportait une merveilleuse sensation de plénitude… Tu sentis aux mouvements de mes reins le plaisir monter en moi. Je poussai mes fesses sur tes doigts, cherchant à m’empaler encore plus loin. Mon membre se raidissait sur ta langue et tu maintins une cadence plus soutenue, y ajoutant cette fois un léger mordillement lorsque ma verge était au fond de ta gorge. Le pincement de tes dents eu raison de moi, et mon orgasme déferla au ralenti dans mes reins et dans ma verge…
    
    Un spasme inouï surgit dans mes reins, étranglant tes doigts dans la bague de mon anus… tu tiras violemment sur mes bourses, étirant mon prépuce à la base du gland… Les contractions violentes de ma verge me firent prendre conscience comme dans un rêve de la montée de ma semence dans mon membre… et comme à retardement, la ...
    ... première giclée de sperme fusa au fond de ta gorge. Les autres suivirent, t’inondant les joues, se collant contre ton palais…
    
    Puis sortant de ce rêve… je me rendis compte où l’on se trouvait… rien ne bougeait dans le dortoir. Alors ta tête émergea des draps, tes lèvres vinrent au-dessus des miennes, et ouvrant la bouche, lentement tu laissas couler des filets de sperme blanc entre mes lèvres entrouvertes avant de m’embrasser dans un baiser d’enfer, mélangeant nos langues dans le fruit de mon plaisir. Je t’enlaçai comme un fou, mêlant mes doigts dans tes cheveux que j’adorais, récupérant à petits coups de langue le sperme qui te barbouillait le visage.
    
    Puis je t’attirai sur moi, te hissant, te faisant sortir des draps jusqu’à ce que tu sois à genoux près de mon visage. Tu compris ce que je voulais faire… alors tu saisis tes lèvres sexuelles, et les écartant, tu vins les déposer comme une corolle épanouie sur ma bouche gourmande…
    
    De suite, un petit ruisseau de mouille me coula dans la bouche, légèrement acide, citronné… je reconnaissais ton parfum de femme entre mille… Tu frottas ton sexe sur ma bouche, m’imprégnant de ton odeur adorée…
    
    Alors comme un lys, tu te redressas, belle dans le clair de lune qui éclairait la chambrée. Tes petits seins pointaient, accrochant des rayons de lumière à la pointe des tétons. Tes cheveux s’irradièrent de poussières d’étoiles… j’étais fou amoureux de toi mon Elise…
    
    Ma langue darda, pointa, fouillant tes chairs intimes… Mes pouces ...
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