1. Le gîte forestier


    Datte: 07/05/2018, Catégories: fhh, alliance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, tutu, Auteur: Tanis, Source: Revebebe

    Quelle idée m’avait poussé à monter les marches ! J’aurais dû rester en bas… avec les autres ! Mais je me disais qu’ils étaient tellement occupés qu’ils ne remarqueraient pas mon absence.
    
    Il faisait une chaleur lourde de plein mois de juillet, les portes étaient grandes ouvertes pour créer un semblant de courant d’air que même ce milieu de soirée ne rafraîchissait pas. Un va-et-vient continuel des invités entre le gîte et le jardin m’avait permis de m’éclipser délicatement… fuyant pour quelques minutes les amis.
    
    Je t’entendais encore dire à une amie :
    
    — J’en ai pour cinq minutes ! j’ai trop chaud ! je file me changer et prendre une douche…
    
    Pas facile de se retrouver au milieu de cette bande d’amis ! Difficile de s’isoler ! Difficile de dire que l’on va se promener à deux ! Pourtant l’envie de te retrouver était la plus forte… et je prenais des risques.
    
    Arrivé au-dessus des marches, j’entendis l’eau des douches couler. Tu devais certainement repasser par la chambrée commune pour prendre des vêtements neufs. Je poussai la porte, et le dortoir avec ses rangées de lits superposés m’apparut seulement éclairé par un petit lustre. Ces gîtes, sans être luxueux, étaient quand même de tout confort. Seul ennui, les chambrées communes… où l’intimité de chacun se réduisait à sa plus simple expression.
    
    Avançant à pas prudent, évitant les sacs et les valises qui jonchaient le sol, je me dirigeai vers le seul éclairage central de la pièce, et délicatement j’en dévissai ...
    ... l’ampoule. L’obscurité se fit.
    
    Prudent, je tendis l’oreille, attentif à l’arrivée éventuelle de quelqu’un…
    
    Tout à coup, je fus surpris du calme qui régnait… « C’est la douche… la douche s’est arrêtée… »
    
    La porte des douches s’ouvrit… ta main devait chercher l’interrupteur…
    
    — Zut ! Ça ne marche pas ! Pourtant l’ampoule marchait tout à l’heure !
    
    À pas prudents, évitant de te cogner les orteils, les mains tendues devant toi, tu te dirigeas à tâtons vers ce qui te semblait être ta couchette.
    
    Je faillis laisser échapper un cri : tu étais complètement nue ! Ton profil se découpait comme une ombre chinoise à travers la fenêtre ouverte… tes épaules, la courbe de tes seins, et tes petites fesses mignonnes… En quelques pas je fus derrière toi, et t’écrasant contre moi, je plaçai une main devant ta bouche pour t’empêcher de crier…
    
    — Chuuuut ! Elise ! Pas de bruit !
    
    Déjà mes mains s’emparaient de tes seins, les englobant totalement pendant que les lèvres s’écrasaient dans ton cou…
    
    — Mais tu es fou ! Si on nous surprenait ! Ici à deux !
    
    Cette situation m’excitait assez fort, et sans te relâcher, une de mes mains glissa sur ton pubis encore parsemé de fines gouttes d’eau…
    
    Je frôlais sa toison noire, sans toucher sa vulve. Son désir était très présent ; elle le contenait, sachant ce qui arriverait finalement. Ma main, descendant le long de son ventre, toucha ses boucles, pour se poser finalement à plat sur son vagin. Je sentis la chaleur et la moiteur qui s’en ...
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