1. Le gîte forestier


    Datte: 07/05/2018, Catégories: fhh, alliance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hdanus, tutu, Auteur: Tanis, Source: Revebebe

    ... ronflements pour masquer un bruit éventuel… Je me redressai, et nouai une serviette autour de mes reins. À pas de loup, je me dirigeai vers la porte… « Ouf ! Elle ne grince pas ! Merci les employés de bien entretenir le bâtiment ! »
    
    Arrivé dans le couloir, j’éteignis le plafonnier pour que la lumière n’inonde pas ta chambre lorsque j’ouvrirais la porte. Rapidement je l’ouvris, et me glissant derrière, je la refermai. J’y étais ! Tremblant presque, je laissai mes yeux s’habituer à l’obscurité, essayant de repérer ta couchette. Heureusement elle était en bas ! Je me voyais difficilement escalader ces petites échelles inconfortables pour accéder à la couche supérieure.
    
    Quatrième couchette… une… deux… trois…quatre…
    
    Je me mis à genoux, m’approchant du lit. Je vis juste la couverture s’écarter et je me coulai à tes côtés. Rapidement tu rejetas la couverture sur nos têtes.
    
    Quelle merveilleuse sensation d’être contre toi ! Impatiente, tu avais déjà ôté ta chemisette, et c’est contre ton corps nu que je me pressai. Mes mains gourmandes effleuraient déjà ton corps, à la recherche des petites zones chaudes et cachées. Tu m’enlevas la serviette, et ta main enserra de suite la formidable érection qui se dressait contre mon ventre.
    
    — On dirait que le petit bonhomme à des envies ! murmuras-tu à mon oreille…
    — Je dirais la même chose de ce petit minou ! répliquai-je en frôlant tes lèvres sexuelles entrouvertes, tu es trempée !
    
    Plongeant sous les couvertures, je sentis ...
    ... bientôt une chaude douceur envelopper mon gland… ta bouche s’était refermée sur ma verge. Avec une infinie douceur, tu la faisais pénétrer millimètre par millimètre, serrant puis relâchant tes lèvres, l’enfonçant un peu plus, la retirant, y faisant tournoyer ta langue comme sur un sucre d’orge. Je n’apercevais que le drap qui bougeait lentement comme une longue vague. Il montait et descendait graduellement au rythme de tes mouvements, au rythme de mon plaisir. J’imaginais tes petites lèvres serrées sur ma queue, humides de salive. Ta langue s’enroulant autour de mon gland, titillant l’entrée, essayant d’y pénétrer.
    
    Le plaisir montait en moi, je me forçai à rester calme, attentif également aux bruits de la nuit. Un de tes doigts prospecteurs partit fouiller le sillon de mes fesses. Très vite il s’immobilisa sur l’anneau plissé de mon anus. Par petites pressions, il en tâta la résistance, tournant autour, cajolant la chair délicate… À présent, mon membre était en entier dans ta bouche, et les longues allées et venues de tes lèvres commençaient à m’étourdir… Tu avais saisis mes bourses dans ta main droite, et suivant le tempo de tes lèvres, tu les étirais fortement, faisant saillir le gland contre ton palais. Parfois fermant la bouche, tu immisçais mon phallus entre ta mâchoire et ta joue, comprimant délicieusement celui-ci.
    
    J’abaissai le drap, voulant te regarder… ta joue grossissait sous les poussées de ma queue par mouvements réguliers. Tu me repris en bouche tout en me ...
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