Voici ce que je crie
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
BDSM / Fétichisme
Auteur: wilparis75, Source: xHamster
... je suis incapable de décoller mon regard de ce torse magnifique et qu’Irène en est parfaitement consciente. Je comprime ma petite culotte dans mon poing crispé en essayant, sans succès, de déglutir silencieusement. Puis Irène nous prend toutes les deux par la main et nous entraîne vers une porte au fond du vestibule qui nous mène à une petite chambre sans fenêtre.
Si le spectacle de l’orgie naissante m’avait déjà abasourdie, celui qui se présente sous mes yeux à présent me pétrifie littéralement. La pièce, parée de tentures sombres, est meublée principalement d’un grand lit à baldaquin couvert d’un dessus satiné. Dans un coin, on a aménagé un salon de style Empire, avec une table basse en chêne massif aux volutes habilement sculptées et trois fauteuils tendus de velours bordeaux. Deux hommes nus sont allongés sur le lit. Le plus jeune, blond et imberbe, est sur le dos, les jambes écartées, les bras tendus en arrière pour s’agripper aux montants du lit. L’autre, un grand gaillard de type méditerranéen est à plat ventre, la tête entre les cuisses du blondinet. La bite du jeune homme disparaît presque entièrement dans la bouche de l’autre qui lui prodigue une fellation passionnée. Le brun pompe avec application en caressant tendrement le ventre du blond, sans se soucier des autres personnages de la salle qui ne semblent d’ailleurs pas leur prêter la moindre attention.
Dans le coin opposé, je reconnais Sibille, la belle photographe, à genoux sur un tapis épais. Elle ...
... est entièrement nue, à l’exception du foulard de soie noire qui lui bande les yeux. Sa peau est intégralement cuivrée, son corps fin et tonique. Ses petits seins bombés surplombent un ventre plat parfait. Son sexe fraîchement épilé est surmonté d’un petit triangle de paille d’or soigneusement taillé. Trois hommes nus gravitent autour d’elle tandis qu’elle cherche à tâtons leurs verges tendues pour les sucer à tour de rôle. Sans discernement, elle laisse les trois bites anonymes s’enfoncer alternativement dans sa petite bouche en cœur, se délectant des glands turgescents qui distendent ses lèvres. Elle les branle sur toute la longueur avec énergie en tétant fiévreusement, transie par l’excitation, les nœuds prêts à exploser à tout moment. Christian, son architecte, est avachi dans un des fauteuils Empire. Il a extrait de son pantalon une queue épaisse et se masturbe à pleine main en regardant sa femme tailler des pipes à l’aveuglette. Sophie, dépoitraillée, et moi, déculottée, débarquons dans la partouze comme deux agnelles écervelées au milieu d’une meute de loups en rut. Irène, qui est restée en retrait, s’est adossée au chambranle de la porte et nous prive de toute retraite.
• — Regardez-moi ce pauvre Christian, nous dit-elle d’une voix mielleuse. Contraint à se branler tout seul pendant que sa cochonne de femme taille des plumes à des inconnus. Sophie, ma chérie, ne reste pas plantée là comme une idiote ! Va vite lui faire une bonne pipe !
Sans broncher, Sophie se ...