Voici ce que je crie
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
BDSM / Fétichisme
Auteur: wilparis75, Source: xHamster
... sur la braguette de son partenaire. Dans le coin bibliothèque, une rousse aux jambes interminables est adossée contre un meuble, deux hommes en costume à ses pieds. Leurs quatre mains disparaissent sous la robe trop courte et la femme se pâme sous leurs invisibles caresses, les yeux mi-clos et la tête renversée en arrière. Sur la piste, deux jouvencelles enamourées dansent un slow en se roulant des grosses pelles bien baveuses sans se soucier de l’homme d’une cinquantaine d’années qui les observe intensément. Dans une alcôve à peine voilée par un rideau, j’entends plus que je n’aperçois un couple dévêtu qui se roule sur un petit lit tendu de satin. Sur le canapé, l’homme a plongé sa main dans le décolleté de la fille et en a extrait un sein finement galbé qu’elle exhibe impudiquement au regard de l’assemblée. Elle se laisse peloter avec complaisance, écartant perceptiblement les cuisses.
Irène apparaît.
• — Ah, te voilà enfin ! me dit-elle en me prenant par le bras. Viens, je veux te présenter quelqu’un.
Je voudrais protester mais son ton n’autorise aucune réplique. Qui plus est, d’un bref coup d’œil vers mes chaussures, elle me fait remarquer que ma petite culotte est toujours accrochée à ma cheville. Rougissant comme une idiote, je me baisse pour la ramasser et je suis docilement Irène vers une antichambre attenante au salon, la culotte à la main.
Une jeune fille blonde en tailleur blanc nous attend nerveusement au milieu de la salle. Elle est plutôt mignonne, ...
... la peau très pâle, de grands yeux bleus, un peu timide. Irène fait rapidement les présentations. La demoiselle s’appelle Sophie et elle est stagiaire assistante juridique depuis six mois chez un ami d’Irène qui est avocat à Paris. Notre hôtesse nous explique qu’elle a pensé que ça nous ferait plaisir à toutes les deux de rencontrer quelqu’un de notre âge ce soir. Elle m’informe que Sophie travaille dans un grand cabinet de juristes, très renommé, et qu’elle est extrêmement « disciplinée ». Ce dernier mot, sur lequel elle a curieusement insisté, me laisse perplexe et Irène ne manque pas de s’en apercevoir. Comme pour expliciter ses paroles, elle se tourne vers Sophie et lui donne un ordre sec :
• — Montre-lui tes seins !
J’écarquille les yeux comme des soucoupes pendant qu’Irène se retient de sourire. Sophie est visiblement embarrassée. Cependant, en baissant les yeux vers le sol, elle entreprend de dégrafer un à un les boutons de son chemisier. Puis elle en écarte lentement les pans, dévoilant une poitrine lourde mais ferme, nettement plus avantageuse que la mienne, dont la peau translucide apparaît finement marbrée de veinules bleutées. Elle ne porte pas de soutien-gorge mais son buste d’albâtre pointe fièrement vers moi comme exonéré des méfaits de la gravité. Lorsqu’un courant d’air frais traverse soudainement la pièce, ses aréoles se hérissent d’une couronne de minuscules picots et ses tétons se rétractent en deux petits bourgeons fripés. Je réalise avec effroi que ...