1. Voici ce que je crie


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme Auteur: wilparis75, Source: xHamster

    ... débarrasse complètement de son chemisier qu’elle laisse tomber sur le parquet et s’agenouille aux pieds de Christian. Elle lui décoche un vague sourire servile que Christian ignore totalement, les yeux toujours rivés sur Sibille, puis elle prend le gros gland dans sa bouche.
    
    Sur le lit, l’homme brun a relevé les fesses de son compagnon et lui lèche maintenant la raie à grands coups de langue. À chaque fois que l’appendice s’attarde sur la rondelle plissée du petit blond, celui-ci gémit un peu plus en se contorsionnant sur le couvre-lit. Il écarte ses fesses à deux mains pour faciliter l’intrusion de la langue dans son fondement.
    
    Un genou à terre, Sophie s’active vaillamment sur le phallus de Christian. Un mince filet de bave s’échappe de la commissure de ses jeunes lèvres. Irène pose une main ferme sur mon épaule et me demande d’un air sévère :
    
    • — Et toi alors, qu’est-ce que tu attends pour la rejoindre ?
    
    Ne trouvant rien d’intelligent à répondre, je m’approche docilement de Christian qui ne semble même pas me remarquer. Je m’accroupis à côté de Sophie qui déplante la grosse bite de sa bouche pour la tendre vers moi. Je me retourne un bref instant vers Irène, le regard hésitant, mais d’un signe de la tête elle m’intime de continuer. M’appuyant alors sur la cuisse de Christian, j’engloutis sa belle queue luisante dans mon gosier et me concentre sur la fellation imposée, en glissant néanmoins une main sous ma robe pour me caresser la fente…
    
    .
    
    Il est ...
    ... inutile, je suppose, de préciser que quand j’atteins ce point de mon récit, ma vulve est déjà bien humectée et que mes phalanges disparaissent presque entièrement sous ma toison humide. Allongée sur mon lit, je me contracte comme une forcenée tandis que la petite bille de mon clitoris roule sous mes doigts endiablés. En imaginant la queue de Christian coulissant sur ma langue, j’enfonce lentement mon majeur entre les lèvres suintantes de ma chatte. Mais les démons de mon appétit onirique se contentent rarement de si peu.
    
    Irène, qui n’a pas bougé, contemple la soumission de ses deux plus jeunes invitées avec l’expression satisfaite d’une maîtresse de maison consciente d’avoir orchestré une soirée parfaitement réussie. Sophie et moi pompons toujours à tour de rôle un Christian qui feint inlassablement l’indifférence. Parfois, nous le suçons toutes les deux en même temps. Une sur les bourses, l’autre sur le bout du gland. Parfois, nos deux langues s’effleurent sur la peau tendue de la hampe. À chaque fois, ce contact nous électrise toutes les deux, sans qu’aucune n’ose jamais aller plus loin. J’ai pourtant l’impression qu’elle cherche à m’embrasser mais je persiste à éviter systématiquement son contact, ce qui ne la met pas en confiance. Elle finit par se résigner, convaincue de ce qu’elle doit interpréter comme des préjugés homophobes de ma part.
    
    J’ai cessé de me caresser pour branler la queue de Christian dans la bouche de Sophie tout en suçotant les poils drus de son pubis ...
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