Voici ce que je crie
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
BDSM / Fétichisme
Auteur: wilparis75, Source: xHamster
... Elle serre son mec contre elle en lui caressant tendrement les cheveux et en ondulant du bassin pour se frotter contre la bosse de son pantalon. Ils n’ont pas envie de discuter non plus. Ils vont baiser là, dans le jardin, sous mes yeux, j’en suis sûre.
Je trouve ça très excitant mais il ne faut pas que je reste là. Il faut que je retraverse le parc et que j’aille trouver Irène pour lui dire que je dois rentrer tout de suite. Encore sous le choc, je chancelle en reculant d’un pas et me heurte à quelque chose de gros, lourd et mou : Paul !
• — Ça te plaît, petite voyeuse ?
La terreur s’empare de moi. Je me retourne d’un bond et détale vers la maison. Mais il est plus rapide et m’att**** par le bras.
• — Attends ! Ça ne te dirait pas de t’amuser comme eux ? Ne me dis pas que tu n’aimes pas ça.
• — Je…
Je n’ai pas le temps de répondre qu’il m’a déjà enlacée et que sa bouche bâillonne la mienne. De ses bras musclés, il me tient juste assez fort pour que je ne puisse pas m’enfuir, mais sans me faire mal. Je ne peux pas crier sans attirer l’attention du couple et me mettre aussitôt dans l’embarras, alors ses mains caressent mon dos en me serrant plus fort contre lui et ses lèvres absorbent les miennes dans un baiser brûlant. Je réalise qu’il n’y a plus d’issue. Mes jambes flageolent. Je chavire. Après tout pourquoi pas ? Pourquoi pas lui ? Pourquoi pas maintenant ? J’aimerais trouver une bonne raison, mais je n’en entrevois aucune. Je ferme les yeux. Malgré moi, ...
... je pose mes mains sur ses larges épaules et desserre lentement ma mâchoire. Les lèvres lâches, je lui offre ma langue en réponse à son baiser. Je rencontre la sienne qui prend immédiatement possession de ma bouche. C’est tellement mieux quand il ne parle pas.
Il me plaque contre le mur. Une main s’empare de ma poitrine. L’autre me malaxe fermement les fesses. Il m’embrasse dans le cou. Je frissonne. Son eau de toilette me grise. D’une main, il retrousse ma robe. Un triangle de coton blanc apparaît au clair de lune. Un peu trop précipitamment, il tire sur ma culotte pour me mettre le cul à l’air. Tout ça va beaucoup trop vite. Pour qui il me prend, celui-là ?
Il s’accroupit devant moi pour baisser ma culotte sur mes chevilles. Fausse manœuvre, Casanova ! Dès qu’il m’a libéré une jambe, je le repousse fermement du talon et je décampe comme une dératée vers les lueurs de la maison, pendant qu’il roule à la renverse sur l’herbe tendre. Je l’entends rigoler derrière moi, mais il ne me poursuit pas.
Je me rue dans le salon encore toute décoiffée et je cherche Irène du regard. Je ne la vois pas. Quelqu’un a manifestement baissé l’intensité lumineuse car il règne dans la pièce une pénombre ambrée. Pantelante, je cherche à reprendre mon souffle et je découvre des invités fort occupés :
Sur le canapé, d’abord, un couple est en train de s’embrasser goulûment et l’homme pétrit sans ménagement la poitrine de la fille. Celle-ci se laisse faire, tout en promenant ses longs doigts ...