1. Voici ce que je crie


    Datte: 21/03/2021, Catégories: Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme Auteur: wilparis75, Source: xHamster

    ... bosses qui tendent mon décolleté. Il est le seul à parler, pourtant il se rappellera demain avoir eu une très intéressante conversation avec moi. Je l’écoute fanfaronner en m’efforçant de sourire et de ne rien dire de stupide, les rares fois où je peux en placer une.
    
    Irène arrive à ma rescousse et m’entraîne par le bras pour me présenter un couple d’amis qui vient d’arriver. Christian a une quarantaine d’années et est architecte. C’est un homme massif, aux sourcils broussailleux. Sa chevelure poivre et sel est soigneusement brossée en arrière et il porte un costume de confection, sans cravate. Lorsqu’il me serre la main, j’ai l’impression qu’il transperce mon âme de son regard d’acier et, face à mon trouble manifeste, son sourire découvre une rangée de dents éclatantes et pointues, parfaitement alignées. Sibille est beaucoup plus jeune, peut-être vingt-cinq ans. Elle est assez petite, blonde, l’allure sportive, souriante et dynamique. Ses cheveux sont taillés court sur la nuque et retombent en mèches indisciplinées sur son front, mais il semble évident que cette apparente négligence est le fruit de plusieurs minutes d’attention d’un talentueux coiffeur. Son bronzage récent met en valeur ses magnifiques yeux verts où brille un éclair de malice et d’intelligence. Elle est photographe, très en vogue en ce moment, et elle expose dans une grande galerie parisienne. Et moi ? Moi, je suis étudiante à Toulouse. Au revoir, Madame. Une soirée épouvantable en perspective.
    
    Je ...
    ... remarque une porte-fenêtre entrouverte qui semble donner sur une terrasse et, sous le prétexte d’aller prendre un peu d’air frais, je m’éclipse et me dirige vers l’extérieur. Au milieu du salon, quelques couples ont commencé à danser. Je n’ai décidément rien à faire ici.
    
    Sur la terrasse, je me sens enfin plus à l’aise. Sitôt passé le seuil, je pénètre dans un monde de silence peuplé exclusivement du chant des cigales et du clapotis de la piscine au bout de l’allée. Je décide de faire quelques pas dans le jardin pour réfléchir à si je reste ou si je commence à chercher une excuse bidon pour rentrer chez moi. Comme souvent dans ces cas-là, pour mieux profiter du calme de la nuit, je m’efforce de marcher le plus silencieusement possible et de contrôler ma respiration. Puis, soudain, j’entends des pas et des rires étouffés s’approcher rapidement. Instinctivement, je me cache dans l’ombre d’un buisson. Je n’ai pas envie de bavarder.
    
    Un couple, relativement jeune pour les standards de la soirée, dévale le talus en courant. Arrivés en bas, ils se jettent dans les bras l’un de l’autre et se laissent rouler sur l’herbe. Le garçon se retrouve sur le dessus et embrasse sa copine en lui maintenant les mains sur le sol. Elle rit. Elle se tortille sous lui de façon à ce qu’il ne l’écrase pas mais remonte ses genoux pour qu’il ne s’échappe pas non plus d’entre ses jambes. Sa jupe s’est relevée jusqu’aux hanches. Il me semble qu’elle ne porte pas de culotte mais je n’en suis pas certaine. ...
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