1. Massage tantrique


    Datte: 21/03/2021, Catégories: fh, cocus, inconnu, fsoumise, noculotte, pénétratio, champagne, couple+h, Masturbation Auteur: Lazizanie, Source: Revebebe

    ... obligea la belle à écarter largement les cuisses. Offrant au regard des mâles, sa chatte. On voyait nettement les deux lèvres qui dépassaient du renflement. Il se mit à triturer les deux parties externes et charnues, passa un doigt dans la fente, enfila son majeur dans le conduit béant. Il sentit nettement la partie rugueuse de l’intimité de la belle, la titillant du bout du doigt.
    
    Il quitta le trou maintenant mouillé, s’agenouilla sur la table. La tête de Marie était entre ses genoux, sa bite touchant la bouche de la massée.
    
    Il prit les pieds de la femme et les amena vers lui, jusqu’à toucher le buste de la belle, presque les épaules. Son cul était largement surélevé, le trou de la chatte était béant, offert à la vue des garçons. Marc s’astiquait la bite vigoureusement.
    
    — T’aimes ça, salope !
    
    Jean introduisit un doigt dans le trou du vagin, l’enfonça à fond et se mit à effectuer des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides. Il monta sur la table, maintenant le cul bien en l’air, impudiquement offert. Marc ...
    ... avait giclé sur les nichons de sa femme. Dans un grognement et en éructant un « putain » de satisfaction. Jean enfila sa bite dans la chatte béante et la besogna à toute vitesse.
    
    Marie feulait, criait, hurlait « enfile-moi », « encore », « plus fort ».
    
    Soudain Jean se retira de la chatte dégoulinante et présenta sa queue à la bouche de la belle et gueula « avale, salope ».
    
    Elle ouvrit la bouche, regarda la queue raide, rouge du garçon qui se branlait avec force, comme si sa survie en dépendait.
    
    Un premier jet manqua sa cible, arrosant le nez et un œil. Le deuxième directement dans la bouche. Le garçon poussa la bite dans le fond de la bouche. Elle suça, aspira, lécha toute la jute du masseur. Se barbouilla les joues du mélange de sperme et de salive qui enduisait la queue.
    
    Ils haletaient tous les trois, reprenant leur souffle.
    
    Jean aida Marie à se lever et à descendre de la table.
    
    Ils regagnèrent le coin salon.
    
    — Une petite coupe, annonça Marc. On l’a bien méritée, n’est-ce pas ? Qu’est-ce que j’ai joui. 
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