Massage tantrique
Datte: 21/03/2021,
Catégories:
fh,
cocus,
inconnu,
fsoumise,
noculotte,
pénétratio,
champagne,
couple+h,
Masturbation
Auteur: Lazizanie, Source: Revebebe
L’homme lui avait lancé un défi :
— Tu te dis doué pour les massages. Je voudrais que tu masses ma femme devant moi.
Soit. Le garçon décida de relever le gant :
— As-tu une table de massage ?
— Non.
— La table de la salle à manger fera l’affaire. Mets un drap pour protéger.
Rendez-vous est pris. Bon, c’est à cent kilomètres. Banlieue chic d’une ville de Picardie. Heureusement, de l’autoroute tout le temps.
Ah, c’est là. Il vit la plaque. Rue Émile Zola. Vit la maison en brique claire.Jolie maison, se dit-il. Il stationna sa voiture soigneusement, descendit ouvrit le coffre et prit la petite mallette. Elle contenait ses produits et ses ustensiles.
Il sonna. La porte automatique s’ouvrit. Il se dirigea vers la maison en empruntant le sentier gravillonné. Un homme vint lui ouvrir. Petit, grisonnant, des lunettes qui assombrissement le visage. Il lui sourit :
— Soyez le bienvenu. Je suis Marc. Entrez.
— Bonjour, je suis Jean.
Il suivit Marc qui le dirigea vers la salle à manger. Il vit la grande table rectangulaire recouverte d’un drap blanc.
Jean-Marie posa sa mallette et le sac qui contenait un matelas mince pliable.
Luc l’invita à passer au coin salon. Sur la table basse, un plateau avec des chips, des tranches de saucisson et trois flûtes.
— Ah, voici ma femme, Marie.
Grande, souriante, mince, elle s’avança vers l’arrivant et lui fit la bise. Elle était déjà en tenue. C’est-à-dire un peignoir de bain. Elle était bien plus grande que ...
... son mari. Fine, cheveux courts, des yeux bleus, des petites dents étincelantes. On devinait une femme de caractère sous le sourire. Une femme habituée à inspirer le désir chez les hommes. Les femmes aussi.
Est-elle entièrement nue en dessous ? se demanda Jean.
Les trois prirent place, Marie à côté de Marc.
— Vous avez trouvé facilement ?
— Avec le GPS, c’est facile maintenant .
S’en suivirent des banalités habituelles. La maison, la météo, la crise des « gilets jaunes ». Marc servit le champagne bien frais. Il avait préparé un seau avec des glaçons.
Quelques instants plus tard, Jean se dit qu’il devait précipiter les évènements.
— J’ai besoin de votre salle de bain quelques instants, dit-il.
— Venez, lui dit Marie. Et il la suivit.
— Tenez, voici une serviette.
Et elle sortit. Jean se déshabilla entièrement, mit son peignoir mince d’un blanc immaculé. Il vit les dessous de Marie négligemment posés sur un tabouret. Il avait la réponse à la question qu’il se posait depuis tout à l’heure.
Oui, elle est à poil sous le peignoir, se dit-il.
Il les prit, les porta à son nez et renifla intensément le petit string. Il passa sa langue, lécha délicatement le tissu. Il se mit à bander.Merde, se dit-il.Faut que je me calme. Il s’enduisit copieusement les mains de savon, brossa soigneusement les doigts et les ongles. Il se lava la bite avec soin, la sécha. Puis il prit son flacon de gel hydroalcoolique et se frotta vigoureusement les mains. Il sortit.
Sylvie ...