1. Massage tantrique


    Datte: 21/03/2021, Catégories: fh, cocus, inconnu, fsoumise, noculotte, pénétratio, champagne, couple+h, Masturbation Auteur: Lazizanie, Source: Revebebe

    ... était assise dans le canapé à côté de son mari. Ce dernier avait profité de l’absence de l’invité pour fermer les volets, pour se déshabiller et mettre, lui aussi, un peignoir.
    
    Le masseur regagna son fauteuil. Marc avait rempli son verre à nouveau.
    
    Marie se leva, baissa la lumière et alluma les bougies qu’elle avait disposées çà et là. Une douce lumière dansante éclairait doucement la pièce. Jean se leva et sortit le matelas pliant qu’il disposa bien au centre de la table. Il le recouvrit d’une grande serviette de bain blanche et invita Marie à s’allonger sur le ventre.
    
    Elle ouvrit le peignoir et vit le corps entièrement nu. Épilée.
    
    Nom de Dieu ! se dit-il admiratif.Qu’est-ce qu’elle est bien foutue !
    
    Marie s’allongea au centre de la table. Jean prit son flacon d’huile, le fit sentir à la belle.
    
    — C’est de l’huile de massage parfumée à l’argan, annonça-t-il.
    — Ça sent bon, acquiesça-t-elle.
    
    Il versa délicatement le liquide huileux dans sa main, attendit quelques instants qu’il se réchauffe et commença à faire des mouvements lents et circulaires sur les épaules, insista sur le creux des clavicules, prit entre les doigts et le pouce, les trapèzes, les malaxa. Marie grogna légèrement de satisfaction. Jean reprit son flacon et versa généreusement l’huile le long de la colonne vertébrale jusqu’au sillon fessier. S’attarda sur les fesses de la femme, plongea le tranchant de sa main dans le sillon, la forçant à écarter les cuisses légèrement.
    
    Puis il fit ...
    ... subir le même traitement aux cuisses, aux mollets. Il remonta vers la jointure des cuisses, frôla le petit trou qui se contracta sous la caresse. Puis descendit légèrement vers la fente du sexe. Il voyait nettement le petit bout de chair qui dépassait légèrement des lèvres. Il le toucha, le frotta avec son index enduit d’huile.
    
    Il repartit vers les fesses, les triturant avec fermeté, le dos aussi. Revenait régulièrement vers le cul et la chatte de Marie.
    
    — Tu as un beau cul, lui murmura-t-il à l’oreille.
    
    Marie pourtant, n’était pas très satisfaite de son postérieur. Elle enviait les fesses rebondies de sa fille cadette. Elle s’astreignait à fréquenter une salle qui proposait de danser la rumba, avec le secret espoir d’augmenter le galbe de la région.
    
    Jean enjoignit à Marie de se retourner. Et il vit ses seins ronds, hauts plantés, bien dessinés, la fente de son sexe épilé. Un choc ! Il s’arrêta quelques instants, le souffle court.
    
    À caresser Marie, à toucher son petit trou, sa fente, il avait commencé à bander.
    
    Mais là, il était raide, dur. Jusqu’à avoir mal. Sa bite dépassait de son peignoir. Il l’enleva, apparaissant nu. Marie le regardait. Marc avait fourré sa main dans le peignoir et se branlait doucement. Jean reprit de l’huile et enduisit généreusement le corps offert. Il malaxait les seins vigoureusement, pinçant le téton, presque avec violence. Marie grimaça sous la douleur. Les mains de Jean repartirent à l’assaut du ventre, du mont de Vénus. Il ...