1. Au service de ma grande Sœur


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byslavio63, Source: Literotica

    ... l'étroite salle d'eau (lavabo, douche, bidet, WC) et le petit débarras dont j'ai déjà parlé et où je range, entre autres, les souliers de ma Sœur et mes instruments de travail domestique.
    
    Moi, je dors dans le petit living, sur un lit de camp que j'installe chaque soir après avoir poussé contre le mur la table qui sert à nos repas. Je dispose de la seconde chaise paillée et travaille, assis sur mon lit, une planche à dessin sur les genoux ou, quand elle est libre et propre, sur la table. Parfois, je m'assois par terre, et pose la planche sur la chaise pour m'en faire une « écritoire ». Mon autre domaine, c'est la minuscule kitchenette, où Clémentine ne met pratiquement jamais les pieds, sauf pour tirer du réfrigérateur un jus de fruits ou quelque chose à grignoter.
    
    Clémentine, qui a toujours été douée, suit un cursus d'ethnologie des sociétés traditionnelles et des sociétés modernes à Paris-Sorbonne. Elle en est au DEA, je crois. Moi, qui ai dix-neuf ans, et suis pas mal en retard, je me dépatouille comme je peux en terminale à Henri-IV... où l'on ne me garde que parce qu'un ami haut placé de notre Mère m'a pistonné. J'ai déjà raté mon bac et me demande si je le décrocherai enfin cette année. De toute façon, bac ou pas bac, j'abandonnerai les études. Elles ne sont pas faites pour moi ou je ne suis pas fait pour elles. Si je les « poursuivais » comme on dit, je serais trop loin derrière pour espérer les rattraper!
    
    Et quand Clémentine me demande : « Mais que feras-tu, ...
    ... alors, dans la vie, sans aucun diplôme? » je lui réponds invariablement : « Ma Sœur chérie, si tu veux bien me garder auprès de toi, je continuerai à te servir ». Clémentine ne dit rien, mais je la vois se rengorger, ses joues rosissent, ses yeux brillent plus encore que d'habitude et je sais que ma réponse lui fait plaisir, car s'il est au monde une Jeune Fille qui aime se faire servir et être bien servie, c'est Elle!
    
    Notre père ayant abandonné le domicile conjugal quand Clémentine avait dix ans et moi cinq, nous avons été élevés par Maman, une belle et forte Dame qui s'est constamment montrée très tendre et permissive envers sa chouchoute de Fille et très exigeante et dure envers moi. Cette discrimination était intentionnelle et j'ai compris plus tard, en voyant comment elle traitait ses amants, et les hommes en général, qu'elle considère que la Femme est un Être d'essence supérieure et que le « mâle », quels que soient son milieu, ses mérites et sa situation, n'est qu'un complément utilitaire et n'existe que pour obéir à la Femme, La servir et Lui apporter toute sorte de commodités, de plaisirs et de satisfactions. Ainsi, Clémentine et notre Mère se tutoyaient et me tutoyaient toutes les deux, mais je devais leur donner du vous, dans le style plus que respectueux que j'utilise encore avec Clémentine : « Ma très chère Sœur, désirez-vous que je vernisse vos ongles de pieds? » Ou encore : « Sœur chérie, voulez-vous que je vous aide dans votre bain? »
    
    Cette mention « dans ...
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