Au service de ma grande Sœur
Datte: 17/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byslavio63, Source: Literotica
... votre bain » pourra surprendre, mais en fait, Clémentine, à l'image de Maman, m'a toujours vu plus comme un larbin que comme un frère et, devant moi, elle ne se croit tenue à aucune espèce de pudeur, étant donné que mon regard ne compte pas, que je suis même un être sans regard qui doit presque constamment tenir les yeux baissés devant elle mais qui, à sa demande, peut aussi la voir nue, lui frotter le corps dans la baignoire, lui enfiler ou lui ôter sa petite culotte, son porte-jarretelles, ses bas et son soutien-gorge, sans jamais avoir le droit d'éprouver la moindre pensée douteuse ni le moindre geste déplacé!
J'ai écrit le mot « larbin » et c'est bien ce que je suis : non seulement, Clémentine se fait servir par moi comme par un domestique gratuit, et cela, avec l'assentiment de notre Mère depuis notre enfance, en se faisant de plus en plus exigeante et en m'accablant de davantage de tâches d'année en année, à mesure que je devenais plus fort.
Très vite, je fus initié chez nous à toutes les corvées d'une maison : j'appris peu à peu, à force de remontrances et souvent de gifles, comment bien faire le ménage, retaper les lits et changer les draps, laver, essuyer et ranger la vaisselle, tenir tout en ordre, assurer le service à table puis desservir, laver le petit linge de Maman et de ma Sœur...
Cette dernière « corvée », je l'adorais. Elle me rendit définitivement fétichiste des sous-vêtements féminins, si délicats, si beaux et si odorants, si « goûteux » même ...
... parfois (s'agissant notamment du fond, souvent bien « beurré », des petites culottes) et aussi des pieds des bas ou des collants, imbibés de sueur après être restés confinés pendant des heures dans des bottes... Fétichiste à tel point que de taper ces simples mots suffit encore à me faire bander!
Souvent, surtout dans les débuts, la qualité de mon travail déplaisait à Maman et à chaque fois elle me punissait. Même si elle possédait de nombreuses cravaches, plusieurs sortes de martinets et des fouets de toute espèce et de toute longueur, des floggers, des canes anglaises, des paddles aussi et d'autres engins à faire mal (à certains de ses amants peut-être?), ces objets de coercition qui pendaient au mur en une sorte de panoplie bien rangée et menaçante, n'étaient en quelque sorte, en ce qui me concerne du moins, que les sceptres de son pouvoir de Femme, destinés à m'inspirer une saine terreur de ses colères.
Maman n'avait qu'une façon de punir son fils, sans doute par égard pour mon jeune âge : les gifles. Mais elle avait des bras puissants et une claque d'elle m'envoyait brutalement la tête d'un côté, avant qu'une autre me la renvoie dans l'autre sens. J'en voyais littéralement trente-six chandelles et me trouvais comme assommé. Et si par hasard, elle était fort en colère et recommençait, je n'étais pas loin de me trouver mal.
Une fois, dans un café d'Aubenas (où nous habitions), j'ai vu Maman envoyer ainsi deux beignes à un jeune amant qui lui avait déplu je ne sais en ...