1. Au service de ma grande Sœur


    Datte: 17/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byslavio63, Source: Literotica

    ... fortement une paume sur le crâne, à travers le tissu, pour être sûre que je vais continuer ma tâche : « Oh, mon petit frère, c'est fou comme ta langue est bonne et comme tu t'en sers bien! Je sais que tu ne cherches pas à me caresser comme lorsque je veux jouir et que je te réclame un vrai service oral, mais malgré tout, ce que tu me fais est si délicieux que c'est une véritable et bonne caresse... Et tu me connais, frérot chéri. Maintenant que tu as fait naître en moi l'envie du plaisir, je ne veux plus m'arrêter. Il va falloir que tu me conduises à ma jouissance! »
    
    Là-dessus, elle se soulève. Sachant ce qu'elle veut, je glisse mes mains sous son derrière, bien à plat, paumes en l'air, car Clémentine veut être certaine que je ne pourrai pas me dérober tant qu'elle ne sera pas entièrement satisfaite et ne m'aura pas libéré. Il ne me reste donc plus qu'à accélérer mes coups de langue, à les renforcer, à en faire frétiller dans la gaine huileuse du vagin, et surtout qu'à m'occuper davantage du clitoris hyper sensible que je faisais exprès de négliger jusqu'ici. Ma Sœur est de plus en plus inondée. Elle ruisselle. Sa toison, la face interne de ses cuisses sont mouillées. Mes mains, mes joues sont mouillées. Mon nez est mouillé, mes narines sont pleines. Ma langue clapote dans l'abondance du jus féminin et de ma propre salive.
    
    Et bientôt, se cambrant, passant ses mains à mon cou, me tirant contre son bas-ventre et me plaquant la bouche contre sa vulve, Clémentine, se met ...
    ... à tressauter et à gémir, et un flot de sa mouille me noie le gosier car, sans être tout à fait femme fontaine, ma Sœur coule on ne peut plus généreusement quand son plaisir est fort. Ce qui semble être le cas!
    
    Après son orgasme, tout essoufflée et encore palpitante, Clémentine se laisse aller en arrière sur le lit. J'ai toujours ma tête sous sa jupe, mon nez parmi ses poils. J'assèche ma bouche, avale ma salive et, lapant, aspirant, suçant, je débarrasse ma Sœur chérie de l'excès d'humidité qui la gênerait, après quoi il me suffira de quelques effleurements de mes cheveux pour que la précieuse intimité de ma Sœur soit bien au sec.
    
    Clémentine me repousse alors vivement d'entre ses jambes et reste un bon moment ainsi allongée, tandis que je demeure à genoux, béat d'admiration et de reconnaissance... mais le sexe en feu. Peu à peu, la respiration de ma Sœur revient à la normale et la houle de ses seins se calme.
    
    Puis, tout à coup, Clémentine est debout, regarde de nouveau sa jolie montre : « Ah, ce coup-ci, je suis vraiment en retard! C'est ta faute aussi, car ta bouche et ta langue sont trop bonnes. Elles me font trop de bien. Je ne peux pas les sentir sur ma chatte sans avoir envie de jouir... Mais tant pis pour eux, ils m'attendront, et sans rouspéter encore!... Ils en ont l'habitude d'ailleurs... Mais toi, tu vas maintenant te dépêcher de m'aider à m'habiller... »
    
    Je m'empresse de me lever. Clémentine choisit de porter une robe blanche qui lui arrive à peine aux ...
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