Au service de ma grande Sœur
Datte: 17/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: byslavio63, Source: Literotica
... tapisse cette bande un peu épaisse, si absorbante, probablement très douce et chaude sous la vulve, que j'imagine presque caressante lorsque ma Sœur marche! « Qu'est-ce que je suis contente que tu te comportes ainsi devant moi à chaque fois! » dit gentiment Clémentine en se penchant sur moi et passant ses doigts dans ma tignasse. « Cela me prouve à quel point tu m'admires, me respectes et m'aimes! Comme récompense, je t'autorise à garder ma petite culotte avec toi cette nuit et à la humer autant que tu voudras... Mais gare aux points d'intrigue! »
Elle a raison de me dire cela car mon pénis s'est mis à gonfler et les satanés picots me font un mal de chien. « Ah, tu vois, s'exclame ma Sœur, tu grimaces déjà, espèce de pervers! Mais c'est une bonne chose car avant de sortir, je n'aurai même pas à vérifier si ta ceinture est bien en place... »
Elle regarde la montre de prix que lui a offerte un admirateur un peu fortuné et dont le cadran est entouré de petits diamants. « Oh zut, je suis déjà en retard! Tu ne vas pas avoir le temps de me donner ma douche... Frérot chéri, tu ne voudrais pas me faire une petite toilette, vite fait, bien fait? » Dit ainsi, comme une aimable demande, ça ne ressemble pas à un ordre mais c'en est un quand même. Et j'en connais le sens. (De plus, Clémentine sait que je déteste qu'elle m'appelle frérot, car j'ai eu la bêtise de le lui avouer un jour, mais depuis, je me garde bien de réagir : cela ne pourrait que l'encourager à me nommer ainsi, ...
... étant donné le goût qu'elle a de me taquiner, la réciproque m'étant bien entendu interdite.)
Une fois que ma Sœur s'est laissée tomber au bord de son lit et a ouvert ses jambes, je me mets à quatre pattes et avance mon torse et ma tête sous sa jupe, entre ses cuisses, jusqu'à ce que ma bouche atteigne son sexe moite dont l'odeur (que je dirais un peu « marine ») s'est accentuée, et que mes lèvres et ma langue entreprennent aussitôt de nettoyer. Je veille à ne pas trop saliver, juste assez pour que mon « toilettage » intime soit efficace, car Clémentine déteste que je la mouille trop quand je lui fais ainsi « des langues pour l'hygiène ».
Ce que nous faisons, elle se faisant lécher et moi la léchant, est un rite car Clémentine a pris un long bain ce matin (avec son frère dévoué pour la savonner, la rincer, l'essuyer) et elle est d'autant plus propre que je ne pense pas qu'elle ait eu depuis l'occasion de « baiser », étant donné que sa toute récente visite à l'Institut de Beauté a été relativement brève.
Et puis, arrive ce qui si souvent survient au cours de ce rituel familial (ou plutôt : sororal!). Je sens des frémissements commencer à parcourir le corps adulé de ma Sœur. Ses fesses se crispent et dansent sur le lit, en légers mouvements verticaux et giratoires en même temps, tandis que ses cuisses se ferment puis se serrent sur ma figure, s'ouvrent, se referment, s'ouvrent de nouveau, finissent par claquer sur mes joues.
Et voici que Clémentine murmure, en m'appuyant ...