On peut toujours faire mieux
Datte: 16/03/2021,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
vacances,
pied,
entreseins,
Oral
fgode,
préservati,
jouet,
méthode,
extraconj,
Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe
... mes lèvres et l’embrasse. Je la sens fondre et la seconde suivante ce sont ses lèvres que j’embrasse. Oh, baiser fougueux, langues qui bataillent, corps qui se cherchent, poitrine contre poitrine, sexe contre sexe. C’est elle qui se retire et dans un souffle demande.
— Vous avez ?
Il n’est pas nécessaire de préciser.
— Non.
— Moi non plus. Oh, j’ai une idée. Je reviens.
Deux minutes plus tard, elle est là, triomphante, une boîte de capotes à la main.
— C’est à mon fils. Je les avais remarquées en faisant le ménage.
Je l’entraîne dans le salon. Sa robe tombe à terre. La coquine, elle ne porte rien dessous. Mon short glisse, libérant ma verge en demi-érection.
— Oh.
Quel plus beau compliment que ce « Oh » admiratif ? Je ne suis pas de ceux qui croient qu’une grosse queue donne plus de plaisir qu’une normale. Le plaisir est plus subtil. Mais je suis assez fier de la mienne. Merci maman. Je ne suis pas Rocco mais je peux tenir ma place. Je pense« Attends de la voir déployée ». Quelques baisers et coups de langues plus tard, je suis assez raide pour que le préservatif m’enveloppe.
Elle s’allonge sur le canapé, les jambes ouvertes montrant sa chatte poilue. Je pensais que cela n’existait plus, mais si.
— Viens !
Comment résister ? Et qui parle de résister ? Ma queue glisse en elle comme dans un pot de crème. Un mois sans faire l’amour ! Elle est large, profonde et mon pubis frappe le sien. Sa main caresse son clito et ses doigts palpent ma queue ...
... comme pour vérifier que ce n’est pas un rêve. Elle gémit et je la baise.
— Oui ! Oui ! Encore !
Tout son corps participe, privé depuis si longtemps de caresses. Je plonge, encore et encore.
— Ahhhhhhhhhhhhhhh
Première jouissance. Heureusement que les fenêtres et les volets sont fermés. Elle n’a pas le plaisir discret. Mais c’est agréable d’entendre le résultat de son travail. Je continue. Mon sexe se perd dans ce gouffre noyé de cyprine et jus de plaisir. J’ai l’impression que mes couilles pourraient entrer. Elles tapent contre son cul. Je ressors entièrement pour regarder le vagin ouvert, les petites lèvres déployées, rouges, écarlates, ses doigts occupant l’espace libre. Je replonge. Han, han, han, frappe le bûcheron.
— Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh…
Encore, elle jouit. Son cri résonne. Enfin elle se calme, anéantie, essoufflée. La sueur colle à sa peau.
Je suis toujours aussi raide. Privilège de l’âge qui donne la résistance. Elle ruisselle de transpiration. J’ai une idée. Le préservatif s’envole. J’avance le long de son corps, amenant mon sexe au niveau de sa poitrine. Je le place dans le sillon de séparation des seins. Des seins blancs, laiteux, volumineux, gonflés par la jouissance. Elle me regarde, surprise, presque inquiète. J’attrape ses mains pour qu’elle presse ses seins l’un contre l’autre, formant un conduit où ma queue disparaît.
Toujours ce regard interrogateur. C’est pas possible qu’avec sa poitrine si généreuse personne n’aie jamais tenté « la ...