1. On peut toujours faire mieux


    Datte: 16/03/2021, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, vacances, pied, entreseins, Oral fgode, préservati, jouet, méthode, extraconj, Auteur: RobertAnne62, Source: Revebebe

    ... corps de femme qui la recouvre. Elle tire sur ses bras oubliant qu’ils sont immobilisés. Elle s’écrie.
    
    — Mais !
    
    Son amie ne lui laisse pas le temps de continuer. Sa bouche forme un bâillon, la langue une pointe qui force le passage de ses lèvres pour aller batailler avec sa propre langue. C’est à cet instant que le doute doit s’installer. Son palais et son nez détectent des odeurs surprenantes, mélange de salive, de jus intime et ce petit goût de… de… mais oui, de poire.
    
    Les deux femmes sont collées l’une sur l’autre. Elles font la même taille. J’accélère la vibration des deux mouvements durabbit. Anne se tortille un peu, approchant au mieux son clito de la langue vibrante pour en profiter. Elle doit sentir aussi à travers sa peau les vibrations des billes qui tournent dans le sexe de son amie.
    
    Je lâche l’engin. Coincé entre les deux corps, il ne risque pas de tomber. Je pose un pied sur le lit, enjambant les jambes des femmes. Une flexion de la jambe au sol amène mon sexe à la bonne hauteur et je retrouve la chaleur du con d’Anne. J’ai plus de mal à entrer et progresser du fait de cette position mais lorsque je suis bien calé au fond, les vibrations du gode me branlent.
    
    Je tends la main pour dénouer le bandeau. Julie hésite un instant avant d’ouvrir les yeux. Mes mouvements ébranlent notre édifice. Enfin, elle ose. Son ...
    ... regard croise le mien et celui de son amie. Anne laisse échapper un long soupir :
    
    — Ouiiiiiiiii.
    
    Je ne pense plus qu’à mon plaisir. Je baise Anne, mais au regard de Julie, je vois qu’elle aussi ressent ma possession Je vais jouir. Juste le temps de retirer la capote avant que je jute. Mon sperme coule sur le gode qui, infatigable, continue de tourner et vibrer.
    
    Je glisse ma main pour m’en saisir et le retirer pour l’abandonner sur le lit encore en mouvement. C’est drôle comme il paraît ridicule et dérisoire après la jouissance.
    
    Nous attendons d’avoir détaché Julie pour lui demander ce qu’elle pense maintenant du jeu du bandeau. Se passe alors une chose incroyable. Cette femme qui vient de subir, avec son consentement, nos outrages, rougit. Oui, son visage s’empourpre, comme une adolescente devant son premier garçon. Elle ne dit rien, plutôt elle ne pose qu’une question. Désignant le morceau de tissu, elle dit :
    
    — Je peux l’emmener ?
    
    Dès le lendemain, nos relations sont redevenues celles de voisins. Bonjour, bonsoir.
    
    Juste un dernier mot. Quelques jours plus tard, j’ai croisé Anne avec son mari, main dans la main, et au moment où nous nous saluions, elle m’a fait un magnifique sourire, accompagné d’un clin d’œil complice.
    
    J’ai raté ma vocation. J’aurais dû être conseiller-conjugal. Mais un conseiller avec travaux pratiques… 
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