1. La belle et la bête


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Hardcore, Auteur: alma19er, Source: xHamster

    ... timbre était devenu rauque, et de la même façon que l’autre fois, elle agitait l’arrière-train comme une chienne en chaleur. J’ai promptement obéi à l’injonction. Je me suis retrouvé nu derrière elle, dans l’eau que les sels de bain rendaient toute bleue. Sous mes yeux, son vagin et son anus béaient en chœur, rose cru, pressés de se faire remplir. Comme j’hésitais sur l’orifice à investir en premier, elle a passé la main entre ses cuisses pour diriger ma queue en bas, vers la chatte. Elle mouillait beaucoup, ses muqueuses se gonflaient d’impatience : la pénétration s’est faite d’une seule poussée jusqu’au fond. Merveilleusement implanté au cœur de sa chatte de velours, j’avais complètement oublié le clébard. Pas elle. D’une voix sourde, elle m’a indiqué qu’un « objet intéressant » se trouvait sur une étagère juste au-dessus de ma tête. Levant la main, j’ai rapporté un gode mince, violacé, long comme le bras. J’avais déjà vu ça quelque part. Elle m’a demandé d’enduire la verge postiche de savon liquide, puis de la lui enfourner en douceur dans l’anus. Ce que j’ai fait. Au fur et à mesure de la pénétration, elle s’animait, poussait des cris, agitait le bassin pour s’empaler sur les deux pénis à la fois. C’était si bon pour moi, au fond de son con, que j’avais de nouveau oublié le chien. Nous nous déchaînions dans les ...
    ... eaux bleues qui éclaboussaient tout autour. Au moment de l’éjaculation, comme si c’était tout naturel, je lui ai mordu la nuque. En hurlant de douleur et de bonheur, elle s’est mise à pisser sous elle comme une vraie chienne qui s’abandonne sous la lune…
    
    Quand j’ai retiré les deux bites, épuisée, elle s’est effondrée dans la baignoire. J’ai coupé les robinets, l’ai aidée à sortir, à se sécher. Elle se laissait faire en reprenant des couleurs.
    
    Avant que nous quittions la salle de bains, elle s’est refait une beauté, nue devant la glace du lavabo. Je me tenais à ses côtés. En s’aspergeant d’un puissant parfum, elle a adressé un sourire à mon reflet dans le miroir. Ses paupières étaient lourdes, ses yeux cernés.
    
    — Je suis vannée. Tu m’as bien baisée… presque aussi bien que mon chien, c’est dire… mais si jamais Émir trouve ton odeur sur moi, il est capable de me tuer. C’est affreux, j’ai l’impression d’avoir trompé mon mari. J’ai peur de lui : il pourrait me broyer la nuque pendant la saillie !
    
    À coups redoublés, elle s’envoyait des giclées partout, sous les bras, entre les seins, les cuisses, les fesses…
    
    — Il me rend folle. Un jour, je le quitterai… Je romprai le Pacs ! Je veux vivre en femme, désormais, moi… pas en femelle ! Il n’a qu’à aller se chercher une chienne ! Une vraie ! Une levrette afghane… 
«1234»