1. La belle et la bête


    Datte: 15/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Hardcore, Auteur: alma19er, Source: xHamster

    Il était très tard, bien trois heures du matin. J’avais tellement bu de mojitos au Coco de Mer que c’est à peine si je savais encore comment je m’appelais. Je revenais chez moi en avançant pieds nus dans le sable, en respirant l’air de la mer pour tâcher de remettre mes idées en place. Quand je les ai vus de loin, je me suis dit que le rhum me jouait des tours. Une longue femme nue et un grand chien plein de poils. Ils couraient le long de l’écume. La plage était située en contrebas : on ne pouvait pas les voir du boulevard Front-de-Mer. Un lampadaire isolé et une lune pleine comme un cadran éclairaient la scène. Tout dans leur attitude indiquait qu’ils se fichaient royalement du reste du monde. Comme ils se dirigeaient de mon côté, je me suis enfoncé dans la zone obscure qui longe le pa****t du boulevard sur des kilomètres. La femme, une haute blonde, allure sportive, cheveux courts, sprintait en levant haut les genoux et balançant les bras, doigts raides écartés comme une championne. Ses petits seins, compacts comme des pelotes, sautaient à peine. Elle allait si vite que le chien, un lévrier afghan à longue fourrure, blond lui aussi, avait du mal à suivre. Pas très stable sur mes jambes, je me suis adossé à la muraille de béton. Vraiment, ils étaient beaux à voir. Avec ses poils qui bougeaient en tous sens au ralenti, le chien paraissait voler. Et la fille donnait l’impression de ne pas toucher terre.
    
    En arrivant vers moi, elle s’est brusquement immobilisée sur le sable ...
    ... mouillé, au ras de la ligne de mousse blanche. Elle tournait le dos à la mer. Je me tenais à carreau, tassé dans mon coin noir. Le chien, emporté par son élan, l’a dépassée. Il revenait vers elle en bondissant, langue sortie. Elle reprenait souffle, tête baissée, mains aux hanches, jambes ouvertes en compas. Je la voyais de trois quarts face. Sur la peau bronzée, on devinait à peine le triangle blond du sexe. Le lévrier est passé derrière elle en pataugeant dans les premières vagues. D’un coup, il lui a enfoncé son long museau pointu entre les fesses. Il s’est figé, elle aussi. Elle avait les yeux fermés, la bouche entrouverte ; sa lèvre tremblait. Une tige rouge s’allongeait avec des soubresauts sous le ventre fourré de l’a****l. Je suivais la scène, le souffle court, les omoplates plaquées contre la paroi de béton froid.
    
    La langue du chien est passée entre les cuisses de la femme, s’est plaquée sur la fente bordée de poils courts, recouvrant le tout comme un string rose thé. Bientôt, la langue s’est mise à bouger sur la chatte. La blonde se crispait en fronçant les sourcils. Et du bout des doigts, elle se massait les ailes du nez. Il me semblait l’entendre gémir, mais c’était peut-être la rumeur du vent qui se levait sur la mer, creusant la houle.
    
    Le museau toujours enfoncé dans le cul de la fille, le chien a exercé une forte poussée. La grande blonde a fait un pas en avant, sans rouvrir les yeux ni desserrer les mâchoires. Le lévrier, de la truffe entre les fesses, ...
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