La belle et la bête
Datte: 15/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Hardcore,
Auteur: alma19er, Source: xHamster
... ville à la recherche d’une pute. La première que je rencontrerais ferait l’affaire…
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À quelque temps de là, le hasard a voulu que je retrouve la femme en question à une soirée chez des relations intimes. Les amis en question possédaient un hôtel particulier où, de temps à autre, ils organisaient des partouzes. À ma demande, la maîtresse de maison, une vieille copine, m’a présenté la grande blonde. Le noir de truffe de sa petite robe de cocktail faisait ressortir les épaules et les jambes dorées de Julia, la femme au chien. Justement, mon amie lui a demandé pourquoi elle n’était pas venue avec son lévrier. (Devais-je comprendre que l’a****l participait aux orgies, et que ma copine l’hôtesse avait recours aux services de la verge longue comme le bras ?) Après un rapide regard dans ma direction, Julia a répondu qu’Émir, le lévrier plein de poils, devenait tellement jaloux qu’il lui rendait la vie impossible. Elle a ajouté que ce n’était qu’un a****l, après tout… et que ce soir, il gardait la maison, comme c’était son boulot… Elle s’est tue : des invités, impatients que la fête commence, nous enlevaient l’hôtesse.
Une soubrette court-vêtue passait par là avec un plateau de rafraîchissements. J’ai pris un mojito, Julia une coupe de champagne. Au bout de quelques verres, nous en étions aux confidences. Elle se plaignait de sa solitude : son mari, un fonctionnaire international, la délaissait… Elle n’avait que son chien pour lui tenir compagnie, plus quelques amis chez ...
... qui elle passait une soirée de temps en temps. Tout autour, la partouze se mettait en place. Des hommes ivres, à quatre pattes sur le tapis, tiraient Julia par le bord de la robe. Préférant continuer à parler avec moi, elle résistait aux invites. À un moment, elle s’est défendue à coups de pied. Je l’ai entraînée hors du salon. Comme la fête se déroulait aussi dans le couloir, pour être tranquilles, nous nous sommes enfermés dans l’une des innombrables salles de bains de la demeure.
Sa coupe à la main, Julia titubait. Je l’ai aidée à s’asseoir sur le large rebord capitonné de la baignoire. Elle s’est laissé embrasser sans résistance. Après m’avoir rendu mon baiser, elle m’a annoncé qu’elle désirait prendre un bain pour se rafraîchir les idées. J’ai ouvert les robinets. Elle m’a demandé de l’aider à se déshabiller. Ça n’a pas été long : elle n’avait sur elle que sa petite robe noire et ses escarpins. J’ai reconnu les petits seins pommés, les bonnes fesses de fausse maigre, le triangle de poils dorés sur la fente. Comme je l’aidais à se glisser dans l’eau tiède qui tapissait le fond de la baignoire, elle m’a annoncé qu’elle m’avait parfaitement vu et identifié, le fameux soir, au bord de la mer, sous la pleine lune. Et que ma présence n’avait pas peu contribué à l’intensité de sa jouissance, secouée par le chien, fouettée par les vagues…
À quatre pattes dans l’eau tourbillonnante, les reins creusés, la croupe relevée, elle m’a invité à la rejoindre dans la baignoire. Son ...