Caroline, libre et libertine
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
grp,
fbi,
couplus,
prost,
amour,
dispute,
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
conte,
Humour
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... l’inassouvi. Filles, bijoux, chevaux, etc. : tout lui a toujours été accordé sans délai par un père aimant et faible pour lui, mais à la fortune considérable. Lassé des jouvencelles et autres pucelles aimables, mais sans relief, car trop obéissantes, il a décidé de s’attaquer aux femmes plus matures, afin de s’assurer de l’épanouissement de sa virilité naissante.
Considérant que nul vêtement n’est utile pour le rut, qu’il ne connaît que dans sa version la plus animale, tout entier absorbé par la satisfaction de sa pulsion, il est entièrement nu et il bande, quoique mollement. Il n’estime pas non plus avoir besoin de mots pour une galante entrée en matière, car il a toujours ignoré cela et ne connaît que la brutalité de ses désirs charnels. Moins d’une minute après l’avoir croisée, il décide que Caroline est la personne idéale pour ses nouveaux projets et s’avance donc pour une fornication immédiate et sans préliminaires, oubliant de s’enquérir de l’avis de la belle. Prière d’ouvrir les cuisses en le voyant approcher. Voici l’œil borgne, tendu en avant, de son appendice phallique qu’il décalotte d’un geste habitué, le goupillon soudain raffermi par la vision de son égérie à l’ample robe rouge, fin prêt pour la pénétration.
Mais quelle n’est pas sa surprise lorsque Caroline le repousse, certes avec le sourire, mais non sans fermeté, de ses deux mains ! Car, tout en connaissant la position sociale de son prétendant, elle possède en elle la hardiesse qu’autorise son ...
... habituel détachement. Incroyable : il a failli tomber sur son derrière ! Cela l’aurait bien humilié, qui plus est devant une femme, et avec des gens autour qui auraient bien ri, ce qui serait la pire chose qui puisse lui arriver. Non, sa réputation ne saurait souffrir ce scandale.
Le désir se fait rage, bave aux lèvres. La verge est à présent totalement dressée, aidée par la colère. Il n’est disposé à n’accepter aucun refus, considérant que nulle femme ne doit se soustraire à un personnage de son rang. Pour punir, il gifle, à toute volée, de toutes ses forces.
— Il faut donc que je vous dresse : pour cet affront, je devrais vous fouetter, Mademoiselle insolente, jusqu’à en faire gicler le sang sur les murs de ce palais qui se souviendra longtemps de votre correction.
Impassible, elle encaisse sans un battement de cils ni reculer d’un pas, montrant que cela ne lui fait rien. Elle le regarde dans les yeux, dans la pénombre, d’un air de défi. Un regard cependant calme et lumineux, sans excès d’agressivité.
— Viens te mesurer à moi, jeune homme, si tu en as le courage, si tes génitoires ne sont point factices ou remplies de vent. Tu voulais me faire peur, mais tu as échoué, car tu ne sais pas à qui tu as affaire. On ne me piétine pas : je ne suis pas comme tes poupées apeurées et serviles qui viennent se réfugier dans les jupons de leur mère au premier accroc, avant que ton père vienne les dédommager pour tes frasques et tes lubies imbéciles. Oh, il a fallu payer plus d’une ...