1. Caroline, libre et libertine


    Datte: 14/03/2021, Catégories: f, fh, ff, ffh, grp, fbi, couplus, prost, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe fsodo, jouet, conte, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... étalage de dévergondage charnel, elle n’en trouve guère. Elle est pourtant disposée à s’offrir toute entière à des rencontres de hasard en risquant son cœur aux dés parmi les myriades de combinaisons qu’Aphrodite a pour elle composées dans l’ombre, quitte à tout perdre sur un coup du sort et se relever juste après en se forçant à toujours sourire à la vie.
    
    Sous ses yeux officie Ishtar, petite brune aux longs cheveux ondulés et au teint hâlé, parée d’un long collier de pierres colorées et de perles précieuses, somptueux cadeau d’un sultan ayant beaucoup apprécié ses services. Elle prétend venir de Babylone, après un parcours aventureux et compliqué, afin que succombent à ses petits pieds aux ongles peints au henné les hommes du monde occidental. Pour mieux envoûter ses clients, elle s’est fait tatouer, non sur le front comme dans l’Apocalypse, mais sur les grandes lèvres de son sexe épilé avec soin et abondamment parfumé d’ambre gris, le mot MYSTÈRE en lettres de feu disposées en demi-cercle, arc de triomphe à sa féminité, autour du trou noir vaginal – astre occlus du désir sans espoir de retour. Elle a cruellement souffert sous les aiguilles avant que l’artisan, comme convenu, se soit payé sur sa personne en inaugurant l’énigmatique message. Mais elle est très fière de ce tatouage qu’elle montre impudiquement à quiconque veut l’admirer ; cependant, pour en explorer charnellement les arcanes, les messieurs doivent soulager leur bourse de quelques pièces ...
    ... d’argent.
    
    Complètement nue mis à part son précieux collier, assise en tailleur, elle déguste lentement le long phallus courbé vers le haut d’un officier de marine encore fièrement vêtu de son uniforme, mais seulement au-dessus de la ceinture, ses bas-morceaux étant accessibles à l’hétaïre à la gorge profonde. L’homme appuie de ses mains sur la chevelure sombre afin d’enfoncer toujours plus profondément la chair épaisse de son membre viril dans le gouffre de la bouche humide, jusqu’au fond du gosier, ce qui provoque des haut-le-cœur bien qu’elle titille courageusement, en même temps, les bourses avec sa lèvre inférieure. Après quelques minutes d’enfournement actif, d’excès d’effervescence, il éjacule profusément, en trois salves énergiques, rugissant à pleins poumons comme un lion vainqueur. Elle avale plusieurs gorgées de sève, mais l’orifice déborde du trop-plein pour s’écouler sur sa gorge en larmes nacrées et luisantes, petites perles de stupre, jusqu’entre les seins et sur son ventre. Prudente, elle fait barrage de ses doigts pour empêcher la rivière séminale de venir féconder son antre mystérieux. Ses mains jointes forment une coupe remplie du produit sa fornication, le liquide qui donne la vie, qu’elle s’étale sur les seins rendus brillants à la lueur cinabre des chandelles, comme des petits soleils couchants. Écœurée de cette irrumation, Caroline se détourne de la scène et passe son chemin. Parmi toutes ces obscénités, elle ne trouve décidément pas l’excitation que sa sensualité ...
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