1. Caroline, libre et libertine


    Datte: 14/03/2021, Catégories: f, fh, ff, ffh, grp, fbi, couplus, prost, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe fsodo, jouet, conte, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... pique-niques des beaux jours.
    
    À l’énoncé du verdict, chacun frémit et retient son souffle, excité, car le bourrellement va bientôt commencer, et promet d’être impitoyable. Les plus sensibles parmi l’assistance font le signe de croix et comptent fermer les yeux pour ne pas assister à l’horreur. Nul ne doute que la belle, de ses jolis doigts agiles se promenant sur la peau, tels des milliers de petites fourmis, saura infliger d’incroyables souffrances au traître qui n’aura que ce qu’il mérite. Elle saura, en manipulant habilement vit et sacoches viriles, l’exciter jusqu’au bord de la jouissance, puis le laisser frustré, avant de ruiner son orgasme, et tout ceci encore et encore, de manière entrecoupée d’atroces chatouillements aux endroits les plus sensibles ; pendant des heures, il sera progressivement drainé de toute sa substance mâle, criera, suppliera, et enfin mourra d’épuisement. D’ailleurs, le jeune criminel pleure amèrement sur son sort, renonçant à sa dernière chance de périr dignement, avec un peu de panache. Il faut dire, à sa décharge, que comparés à ce supplice, la croix, le pal, la roue, le bûcher et l’écartèlement ne sont que d’aimables plaisanteries.
    
    Caroline croise le regard de celui dont elle est chargée du supplice… et vient se jeter, sans craindre de salir sa robe, aux pieds du Prince pour le supplier de gracier le condamné ! Elle est à genoux et baise les orteils du souverain, lequel éclate aussitôt d’un rire très sonore, car il se souvient du jour où ...
    ... lui-même était ainsi courbé devant sa maîtresse dont il quémandait les faveurs charnelles. En effet, par principe, il s’est toujours refusé à user de son autorité dans le but d’introduire une belle dans son lit princier.
    
    — Accordé, ma belle ! Accordé, comme l’autre jour où tu m’as offert tes charmes. Comme cela, c’est équitable. Tant pis pour le château : après tout, j’en ferai reconstruire un autre, plus beau encore. Quant à toi, dit-il en s’adressant au fils indigne, tu es banni à tout jamais ! Déshérité, déshonoré, déchu de ton titre de comte, et même, dépouillé de tous tes vêtements ! Détachez-le. Allez, file, va semer la pagaille dans les royaumes voisins, et qu’on ne te revoie plus jamais sur mes terres, sinon… j’espère que tu imagines ce qu’on va te faire, car ma mansuétude a ses limites !
    
    Le jeune homme, une fois libéré de ses liens, embrasse une dernière fois ses parents qui, même s’ils pleurent d’avoir perdu leur fils, sont quand même soulagés de ne pas devoir assister à son exécution capitale, et à ce titre, ils sont pleins de reconnaissance envers Caroline qu’ils sont disposés à reconnaître comme leur propre fille. Une fille un peu incestueuse, quand même… qui viendra souvent agrémenter leurs relations de couple, du moins lorsque les activités princières lui en laisseront le temps, c’est-à-dire entre deux orgies. Par miracle, elle a même pensé à sauver le précieux godemiché d’ivoire ! Puis l’ex-fils de comte part sans se retourner, accompagné pour cela d’un ...