1. Caroline, libre et libertine


    Datte: 14/03/2021, Catégories: f, fh, ff, ffh, grp, fbi, couplus, prost, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe fsodo, jouet, conte, Humour Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe

    ... lui, bien sûr. Tant pis pour l’instabilité politique qui s’en suivra. Peut-être même obtiendra-t-il une récompense de la part des royaumes voisins, n’attendant que cette occasion pour déclencher la guerre.
    
    En attendant, il vient d’occire par surprise, d’un coup d’épée dans le dos, son valet qui aurait été un témoin gênant de cette affaire puisque celui-ci, sur son ordre, a condamné toutes les issues du château après avoir enflammé une tenture copieusement enduite d’amadou. Les cris qu’il entend à présent le remplissent d’une joie sadique, surtout lorsqu’il pense à la fin tragique de sa belle ennemie qu’il imagine se débattre dans les flammes. Malheureusement, il n’y personne autour de lui qui puisse l’aider à assouvir sa pulsion, alors il entreprend de se soulager lui-même, tout en se disant que lorsque tous les invités auront péri et que l’incendie se sera éteint de lui-même, il irait bien se satisfaire sur le corps carbonisé de la belle Caroline, afin d’achever convenablement sa vengeance.
    
    Cependant, à l’intérieur, notre héroïne ne cède pas à la panique, car elle sait que le donjon du château possède une porte secrète communiquant, via un tunnel, à une cabane située dans le petit bois. Non sans mal, elle parvient à rassembler les invités – y compris celui qui était resté enfermé dans les oubliettes – et à les guider, rampant au sol afin de pouvoir respirer malgré la fumée, à la lueur d’une torche, vers la seule issue possible, dont seuls un petit nombre d’initiés, ...
    ... dont elle-même et le Prince connaissaient l’existence. Celui-ci regrette que le secret soit divulgué, car cette voie lui a longtemps permis d’entrer et sortir discrètement, mais il admet que nécessité fait loi. De la sorte, mises à part quelques brûlures sans gravité, l’incendie ne fait aucune victime – mais de grands dégâts matériels.
    
    Comme le maître des lieux se doute qu’il ne s’agit en aucun cas d’un accident, consigne est faite de se déplacer sans parler et sans bruit afin de surprendre le ou les auteurs du forfait. Lui-même, accompagné de Caroline, a mené la troupe des invités jusqu’au bois où chacun est en sécurité. On découvre rapidement le pot aux roses en même temps que le fils du comte, en train de contempler son œuvre et accessoirement de se livrer au vice solitaire à côté du cadavre de son valet, ce qui en dit long sur sa responsabilité des flammes qui sont en train de ravager le château princier.
    
    Point n’est besoin, dans ce pays et à cette époque reculée, de procès élaboré avec témoins, procureur et avocats : séance tenante, le Prince promulgue la condamnation et dicte la sentence. C’est la mort, bien sûr, exécutoire immédiatement comme il se doit. Il est souverainement décidé que le coupable sera publiquement dénudé, attaché, puis mortellement chatouillé, et qu’à cette fin, Caroline est officiellement désignée comme bourreau pour cette exécution capitale. Déjà, le condamné est lié nu, par poignets et chevilles, à la table qui sert habituellement pour les ...