Caroline, libre et libertine
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
grp,
fbi,
couplus,
prost,
amour,
dispute,
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
conte,
Humour
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... déjà vidé leurs testicules, la prostate épuisée et le vit en flanelle, de sorte que les dames, dont la libido n’est pas encore complètement assouvie, se consolent de ces redditions en série avec les plus jeunes et les plus fougueux. Ceux-ci mettent un point d’honneur à ne point succomber sous le nombre de leurs amazones, donnant au hasard de grands coups de leur sabre viril dans tous les orifices qui se présentent devant eux, sans distinction d’âge ni de rang, ni ménager leurs forces, embrochant l’une puis empalant l’autre et derechef transperçant une troisième dont la croupe passe opportunément à leur portée, sans pause aucune, courageux dans l’assaut et intrépides au combat, attentifs à n’en laisser aucune irrassasiée, prenant garde également à ne pas glisser sur les flaques de semence répandues sur le sol, car on risque ainsi de se rompre les os dans la bataille, voire exceptionnellement y perdre la vie en cas de mauvaise chute. Parfois aussi le cœur démissionne en pleine action, mort glorieuse et sans agonie à l’acmé du plaisir. Déjà l’un des invités est couché dessous un drap blanc sans qu’aucun des prêtres présents sur place ait eu le temps de délaisser ses pieuses cavalières afin d’offrir au malheureux l’extrême onction et le pardon des péchés.
Marotte de vieux satyre, le comte a toujours aimé voir des belles se gougnotter devant lui. Les plaisirs de Gomorrhe ont pour lui un charme spécial. Il lui est arrivé de payer des prostituées pour cela, tant il trouve ce ...
... spectacle distrayant, que ce soit pour se mettre en appétit avant l’orgie ou bien se détendre après. Certes, son épouse ne lui a jamais fait mystère de son goût pour les personnes du même sexe qu’elle. Mieux encore, elle ne perd jamais une occasion pour lui faire admirer ses ébats lesbiens dans lesquels elle avoue trouver plus de volupté que dans les unions traditionnelles avec un mâle, notamment en s’acquittant du devoir conjugal.
Lui, d’ailleurs, ne dédaigne pas que de temps un temps qu’un jeune page de sa maison, ou bien prêté par un ami, se mette nu sous ses yeux puis vienne à genoux, sous son bureau, agrémenter ses laborieuses séances de travail administratif par quelque délicate succion génitale, à condition toutefois que le suc, dont l’émission ne tarde pas à s’en suivre, soit jusqu’à la dernière goutte décemment avalé afin de ne point tâcher les tapis précieux. Cependant, ce sont là seulement des luxures apéritives, mises en bouche récréatives, amuse-sceptre comtal, et non le plat de résistance de son appétit de chair, pour lequel il lui faut des femmes, de préférence assez jeunes : il ne goûte pas aux manières sodomites des gitons, laissant cela à son fils adoré, avide de petits culs dociles et bien étroits qu’il enfile en série comme des perles.
La comtesse, bien que n’étant plus dans sa prime jeunesse, a conservé la plus grande partie de sa vénusté que feu sa mère lui a léguée à la naissance, de sorte que lorsqu’elle se couche nue, sur le dos, bras et jambes ...