Caroline, libre et libertine
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
grp,
fbi,
couplus,
prost,
amour,
dispute,
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
jouet,
conte,
Humour
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... exorbitent ses yeux comme des boules de loterie, voire le rendent à moitié fou. Votre poitrine de femme, pourtant fort bien faite et de belle ampleur, a hélas peu de chances de le séduire. Mais je lui parlerai, et en attendant, consolons-nous ensemble, puisque fort opportunément vous me proposez une heure câline. Tous ces godemichés et autres instruments de volupté – je me vante d’en posséder une très belle collection –, pour luxueux soient-ils, à force de me manuéliser, finissent par m’irriter les muqueuses, aussi votre langue y sera-t-elle la bienvenue.
La comtesse glisse coquinement une main sous la robe de celle qui se laisse faire en observant, sous la perruque poudrée, un regard superbe et tout rempli de désir. Dès le premier contact, Caroline frissonne, puis soupire sous ces tendres mignardises et gazouille de ces délicates blandices. L’autre main continue d’actionner l’objet de plaisir, toujours profondément enfoui entre les cuisses. Bientôt, le vêtement rouge tombe sur le plancher, révélant un corps parfait aux puissants parfums femelles. Voici qui met à son comble l’excitation de sa partenaire, ravie d’avoir enfin trouvé une compagne à son inclination pour ses jeux sybaritiques extra-conjugaux. La seule vue des seins élégants, exposés sous ses yeux, la plonge immédiatement dans une jouissance qui se traduit par de petits cris aigus, la bouche grande ouverte comme pour rechercher désespérément un air trop rare, et les yeux clos, dans une petite mort sublime à ...
... contempler.
Percevant cela, le comte tourne la tête et voit son épouse sous l’emprise des joies sensuelles en compagnie d’une autre femme, ce qui le fait aussitôt décharger à longs traits blancs sur les reins de la fille qu’il sodomisait à ce moment-là. Une fois libéré de la mentule qui le culbutait sans ménagement, le cul dilaté, béant, répand de fortes odeurs organiques se mêlant à l’intense transpiration de l’homme. Celui-ci, épuisé comme on peut l’être à son âge par trop de luxures agitées, comme un guerrier aspirant à un repos bien mérité, s’affale dans un fauteuil de velours afin d’observer comment celle qu’il a épousée vingt ans plus tôt se fait gentement gousser par une amante aux courbes douces et sympathiques qui lui font redécouvrir les charmes de la maturité féminine.Voyons si cette mignonne manie aussi bien la langue que le couteau, se dit-il.
Autour d’eux, en plein cœur de la nuit, l’orgie bat son plein. Les corps s’enchevêtrent ; membres et sexes indistincts s’agitent en tous sens et en toutes positions, tandis que la rumeur des gémissements alternativement enfle puis s’apaise, comme le vent d’une tempête mugit sur un océan de chairs en sueur, peaux dénudées aux reflets rougeoyants de la lueur tremblante des bougies à demi consumées. Parfois, une femme sous l’emprise de l’allégresse que lui procure son clitoris émet un hurlement qui se distingue dans la confusion ambiante.
À l’horloge du salon, il est minuit passé : les messieurs les moins vaillants ont ...