1. Les démons de Maria


    Datte: 14/03/2021, Catégories: fhh, fffh, fhhh, grp, couplus, extracon, cocus, inconnu, boitenuit, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... temps, il l’embrassa goulûment et la palpa sous toutes les coutures. Maria se débarrassa prestement de sa petite culotte, vint s’asseoir sur le lit et, le buste en arrière, en appui sur ses mains, le regarda enlever sa veste et sa chemise en souriant. Dans cette posture, la robe offrait les cuisses et le ventre à ses yeux. Il demanda :
    
    — C’est pour ton mari ou pour tes amants que tu t’épiles ?
    — Mon mari n’a jamais vu mon minou tout lisse ; c’est la première fois que je m’épile intégralement. Je voulais faire bonne impression ce soir ; j’espère que ça te plaît.
    — Ce sont toujours les maris les derniers informés ! Je te remercie, ça me fait plaisir.
    
    Cyril se rapprocha du lit et ma femme ouvrit sa braguette, dégrafa la ceinture et baissa le pantalon et le caleçon de son partenaire pour s’emparer de l’objet de sa convoitise. Celui-ci bandait déjà et elle commença à branler doucement une bite moyenne mais très raide avant de la mettre dans sa bouche pour la sucer et la lécher. Il lui dit :
    
    — Laurence ne m’a pas dit que tu suçais aussi bien.
    — Laurence ne sait pas tout : les trucs cochons, d’habitude, je les réserve à mon mari.
    — J’espère profiter de tes talents ce soir.
    — Absolument. Viens t’allonger sur le lit, j’ai envie de toi.
    
    Elle le fit s’allonger sur le dos et monta à califourchon sur lui. Sans plus attendre, elle positionna la verge à l’entrée de son vagin et s’empala jusqu’à la garde. Ma déesse chevauchait ce mâle dans sa robe noire remontée jusqu’aux ...
    ... hanches et son partenaire s’amusait avec ses nichons qui apparaissaient et se cachaient à chaque mouvement de bassin de ma femme. Cyril s’étonna :
    
    — Comment se fait-il que tu sois si excitée et si mouillée ?
    — Je n’en peux plus, j’ai trop envie d’une queue.
    
    Je la connaissais bien, ma Maria, et je savais qu’elle ne parlait pas à la légère. D’ailleurs elle accélérait déjà la cadence, ce qui fit jouir son partenaire. L’éjaculation de Cyril déclencha son propre orgasme, violent et incontrôlable. Puis elle s’écroula sur son amant qui avait subi cette tornade.
    
    Ils se séparèrent et Cyril demanda :
    
    — Tu es toujours aussi chaude ou tu es en manque ?
    — J’aime le sexe.
    — Ton mari ne te baise jamais ?
    — Si, bien sûr qu’il me baise, souvent et bien. Et comme il en a une grosse, il me fait jouir à chaque fois. Pas plus tard que ce matin, d’ailleurs.
    — Laurence avait raison : assurément, tu es un bon coup !
    — Elle en dit des choses, Laurence. Tu veux que je me déshabille ?
    — Non, garde tout ; cette robe qui ne cache rien va tous nous rendre fous.
    — Tu me fais une petite place à côté de toi ?
    — Viens sur le lit. Tu es un phénomène, dans ton genre !
    — Je suis vaginale : c’est pour ça que je prends tant de plaisir avec un homme ; il faut juste qu’il soit assez endurant. Ce n’est pas bien ?
    — Si, au contraire ; je n’avais jamais baisé de femme purement vaginale.
    — Tu verras, tu pourras me faire jouir facilement si tu sais y faire.
    — Tu m’as surpris : je n’ai même pas eu ...
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