Les démons de Maria
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
fhh,
fffh,
fhhh,
grp,
couplus,
extracon,
cocus,
inconnu,
boitenuit,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
La nuit était étrangement tranquille, laissant naître en douceur ce dimanche de fin d’été. Marseille, d’ordinaire si agitée, nous accordait une parenthèse de quiétude tandis que la limousine se coulait avec fluidité dans la circulation ; la belle allemande ronronnait dans un doux feulement, nous offrant un havre de paix confortable après la soirée que nous venions de vivre.
Ma femme à demi endormie blottie au creux de l’épaule, je savourais cet instant suspendu dans un espace-temps où nous étions seuls au monde. Et rien n’avait plus d’importance, ni les effets de l’abus d’alcool, ni l’exhibition passive de ma chérie. Notre chauffeur, alerte et opportuniste, pensait sans doute que je n’avais pas remarqué quand il avait discrètement orienté le rétroviseur intérieur. Le fourreau fendu ne lui cachait rien, hormis les bas auto-fixant gainant ses jambes jusqu’à la lisière de ses trésors ; la coquine ne portait aucun dessous.
Si la nuit et la couleur noire occultaient les auréoles qui maculaient le vêtement, le voyeur devait bénir le créateur d’une telle tenue qui dévoilait un sein à chaque soupir et découvrait les cuisses jusqu’au nombril à chaque mouvement. À chaque feu rouge, il détaillait sans vergogne les trésors de ma chérie. Quant à moi, je n’avais pas la moindre envie de bouger ne serait-ce qu’un doigt pour ajuster la robe, et en vérité, quelle importance que le chauffeur reluque une minette dont tant d’autres avaient usé et abusé tout au long de la soirée ?
À ...
... destination, ma femme à demi assoupie combla le voyeur : elle descendit péniblement du véhicule, et dans un mouvement aussi involontaire qu’impudique se découvrit jusqu’au nombril.
Elle monta chez nous comme une somnambule, jeta sa robe sur une chaise et se mit aussitôt au lit. Elle s’endormit comme une masse, ponctuant son sommeil lourd de profonds soupirs. Pour moi, une douche s’imposa, apaisante malgré les effets conjugués de l’alcool, de la fatigue et de toutes les images qui se télescopaient dans ma tête en flashs désordonnés.
Je visualisai sans peine notre arrivée dans ce club très exclusif, le passage au vestiaire pour nous débarrasser de nos manteaux, l’effet que fit Maria dans son audacieux fourreau, l’accueil enthousiaste de son amie Laurence et l’expression de convoitise de Cyril son mari, qui avait manifestement jeté son dévolu sur la belle en robe noire. La vision fugitive de ma chérie, assise en bonne compagnie à une table du salon, surtout de ses jambes exposées par les caprices de la robe noire au gré des rires et de conversations animées. Laurence avait hâte de m’éloigner de son amie que j’entrevis dans l’escalier menant aux salons privés, son chevalier servant aux fesses.
J’entendais encore la bonne amie assurer que Maria allait s’éclater, tandis qu’elle m’entraînait vers un autre salon privé.
Commença alors le meilleur de ma soirée, une première pour notre couple. Je ne me sentais pas très à l’aise dans le rôle humiliant du mari impuissant à ...