1. Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir


    Datte: 14/03/2021, Catégories: h, fh, fhh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, jeu, Auteur: Phil, Source: Revebebe

    ... chéri, mais pour nous je ne veux pas le faire sans toi.
    — Et il a dit quoi ?
    — Ben que pour lui ça ne posait aucun problème, alors c’est bon, fais-moi ce cadeau, je suis certaine qu’après ce sera bon !
    
    En même temps elle posa sa main sur la bosse qui déformait mon jean en la massant doucement. Elle releva son visage et m’embrassa tendrement, puis passionnément, un baiser d’amour puis d’envie. Quand nos lèvres se séparèrent, elle me murmura :
    
    — Alors tu dis quoi ?
    
    Ses doigts avaient défait les boutons de ma braguette et plongeaient avec frénésie dans mon caleçon pour en extraire une queue déjà bien dure qu’elle caressait délicatement.
    
    — Hum, tu vois toi aussi cela t’excite, alors dis-moi « oui», tout en ondulant ses fesses sous mes mains qui en avaient pris possession.
    
    Les secondes s’égrenaient, interminables. Ses sens semblaient suspendus à ma réponse. Je succombai à ses envies et lui chuchotai à l’oreille d’une voix cassée :
    
    — Oui, c’est d’accord.
    
    Elle sembla fondre à ces mots. Sa main se fit plus pressante sur mon sexe, se corps se détendit, devint plus félin. Mon acquiescement la rendit plus "chatte" ; on aurait dit qu’un mur de contenance et de retenue venait de s’effondrer.
    
    — Oh mon chéri, tu me donnes envie là, hum, et toi aussi ce que je t’ai raconté, ça t’a fait de l’effet !, avec une lueur malicieuse dans les yeux.
    — Ah, continue …, m’abandonnant à sa délicieuse caresse
    
    Puis sa main libre fouilla dans la poche de sa veste. Elle en retira ...
    ... son téléphone portable, pianota sur quelques touches et me le tendit :
    
    — Tiens, je ne veux plus rien te cacher, regarde, ce sont nos échanges de photos.
    
    Ma paume se crispait sur le métal dur de l’appareil. Céline se laissa tomber à genoux le long de mon corps. Mon regard était capté par les images qui défilaient en diaporama sur l’écran couleur. Ma femme goba avec gourmandise ma queue dressée, me pompant comme une folle, me regardant chaque fois que sa bouche changeait de rythme de succion, semblant vérifier dans mes yeux rivés l’excitation qui m’envahissait. Les photos se succédaient. Elles étaient effectivement crues, indécentes, pornographiques : gros plan de ses lèvres intimes luisant de mouille, de son petit bouton rouge émergeant entre son pouce et son index, de ses fesses fermes et rebondies prises en contre-plongée, puis zoom sur son sillon et à nouveau sur sa fente béante que sa main ouvrait comme une invitation à la forcer ; quelques vues de son visage et surtout de sa bouche qui mimait sur divers objets ce qu’elle était en train de me faire avec gourmandise et expertise ; enfin le choc et la stupeur : une énorme bite sombre remplissait le petit écran. Céline perçut mon trouble. Elle abandonna mon sexe pour commenter sur un ton mutin de contentement, telle une guide touristique faisant découvrir à son auditoire un monument d’exception :
    
    — Ah, t’as vu ? Il en a une grosse n’est pas ?
    — En effet … un sacré engin ! Au début, j’ai eu du mal pour le prendre en ...
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