Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir
Datte: 14/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
fhh,
couleurs,
extracon,
cocus,
grossexe,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
jeu,
Auteur: Phil, Source: Revebebe
... et quittai la chambre. Il fallait que je sache !
J’ouvris avec inquiétude le couvercle en osier du panier à linge. Le pantalon noir à fines rayures gisait dans le fond, ainsi que le petit top fantaisie échancré. Mes mains tremblantes fouillaient parmi les autres vêtements sales : mon caleçon, un jean et une chemise, des serviettes, mais pas de string ! « Bon, un string c’est relativement minimaliste », il avait pu se cacher fortuitement entre d’autres habits ou glisser entre mes doigts. Une douleur prémonitoire nouait mon ventre alors que je triais méticuleusement l’ensemble du linge, lissant et retournant les manches, espérant à chaque instant découvrir une culotte, mais en vain ! Je saisis alors le pantalon. J’avais l’impression de tenir une grenade, dont j’avais dégoupillé il y a dix ans l’anneau et qui aujourd’hui n’allait pas tarder à exploser, ruinant ma vie et expédiant ses débris aux quatre coins de la salle de bain. Le tissu noir à fines rayures était souillé au niveau de l’entrejambe. Il était moite : une large auréole plus sombre s’étendait telle une ellipse, encadrant la braguette et remontant pratiquement jusqu’au bouton de fermeture, des taches gris-blanc se dessinaient en reflet partant de la couture médiane jusque quelques centimètres plus bas, tels des sillons de nacre. Je devins livide. Je portais le pantalon à mon visage, geste ultime et dérisoire pour approcher la vérité, même si en mon for intérieur je la connaissais déjà ! je humai une senteur ...
... sucrée de miel, je reconnus immédiatement le goût intime de ma femme : ce fût ma première claque. Puis des effluves plus animales, acres et salées agressèrent mes narines, je sus également instantanément qu’il s’agissait de l’odeur typique de sperme : ce fût ma seconde claque !
Céline ne m’avait donc pas menti, les preuves de la triste réalité s’étalaient là devant moi. En même temps la certitude de sa trahison projeta dans ma tête les images de débauche et de luxure qu’elle m’avait si consciencieusement décrites, emplit mes oreilles des paroles crues et des gémissements qu’elle avait prononcés. Je remarquai que ma queue durcissait encore dans mon boxer. Je la saisis et me masturbai frénétiquement en repensant à la longue confession de ma femme. Je l’imaginais telle que dans son récit, à quatre pattes sur le clic clac, sensuelle et désirable, le cul tendu s’ouvrant sur une fente de braise, véritable appel désespéré à la possession, et une grosse queue noire bien dure ouvrant ses lèvres intimes puis s’enfonçant bien profondément dans sa vulve et la faisant gémir de plaisir. Puis je me voyais déchirer la pellicule de ce film et y pénétrer, rejoindre le couple et forcer de mon gland sa bouche pulpeuse, l’y enfoncer et me faire sucer pendant qu’un inconnu la baisait. J’éjaculai avec violence dans ce même pantalon imbibant une nouvelle fois la flanelle de semence, mais cette fois-ci de la mienne !
Je réussis enfin à trouver le sommeil allongé aux côtés de mon épouse. Le dimanche ...