Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir - Histoires de Sexe

Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir

... son sillon profond, le plissé de son petit œillet serré et les soubresauts de sa chatte humide et brûlante au regard affamé de notre invité. Ma femme tortillait lascivement son beau postérieur. Puis mon doigt explora les reliefs moelleux de ses grandes lèvres, les dégagea sur le côté pour titiller les petites, les violer et s’enfoncer dans le marécage torride de ses chairs intimes. Un gémissement langoureux déchira la douce musique de l’eau. Mamadou pour éviter le tangage du matelas et le stabiliser s’était relevé. Sa queue noire émergeait des flots, tel le périscope d’un sous marin à la recherche d’un cuirassier ennemi qu’il souhaitait torpiller de sa vigueur, d’une coque inconnue que son missile puissant allait éclater et pourfendre. Elle était effectivement de dimensions inhabituelles, un large pieu sombre à la base épaisse et robuste qui se terminait par un gland décalotté comme un énorme marron boursouflé. J’imaginais sans peine la surprise qu’avait dû ressentir ma femme quand elle l’avait découvert, son émoi quand elle l’avait happé dans sa bouche gourmande et je comprenais son envie et son impatience d’en user et d’en abuser à nouveau. Sur un ton taquin et provocateur, Céline nous interpella.

— Alors vous ne l’avez pas encore assez maté mon cul ? Est-ce que moi je zieute le vôtre ? En plus vous me tripotez … est-ce que je vous tripote moi ?
— Oh ma chérie, lui dis-je tout en continuant de faire glisser mon doigt dans sa vulve trempée, mais il n’y a pas de ...

... problème, es-tu devenue timide ? Tu sais bien qu’il te suffit de demander … n’est-ce pas Mamadou ?
— Oui bien sûr ! répondit ce dernier semblant chaque seconde devoir faire des efforts de plus en plus surhumains pour contrôler ses sens et ne pas sauter sur mon épouse
— Flatteurs ! Ben on va bien voir.

Sur ces mots, elle se retourna subitement, bascula du matelas en tombant dans l’eau puis se hissa sur le bord de la piscine.

— Mais tu fais quoi ?

En souriant, elle nous annonça triomphante :

— Si vous voulez continuer à me mater, voire pourquoi pas plus, il va falloir le mériter. Donc on va un peu jouer : je suis la proie et vous les chasseurs, celui qui me trouve et réussit à me capturer, surprise pour lui … il ne regrettera peut être pas la suite, tout en traversant la terrasse en petits pas rapides et sautillants, faisant se balancer ses fesses rondes sous nos regards médusés.
— Mais mon amour, tu n’as aucune chance de nous échapper, dans moins d’une minute tu es notre prisonnière !
— Pff … c’est pour çà qu’on va un peu compliquer la règle sinon ce ne sera pas rigolo. Vous n’avez le droit d’avancer qu’à cloche-pied, sauf pour sortir de l’eau bien sûr … alors que moi je peux utiliser mes deux jambes ! Bon c’est vrai que comme vous en avez trois, vous ne devriez pas être trop pénalisés, quoique votre troisième elle est bizarre : plus petite et elle ne pointe pas toujours dans la bonne direction ! avec un grand éclat de rire
— Attends tu ne perds rien pour attendre, et ...