1. Quand l'espoir et le désespoir se confondent dans le plaisir


    Datte: 14/03/2021, Catégories: h, fh, fhh, couleurs, extracon, cocus, grossexe, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, jeu, Auteur: Phil, Source: Revebebe

    ... de cinquante centimètres de ses yeux ! J’enviais la vision divine dont il devait jouir. Je me pris à penser que ma femme devait mouiller abondement de s’exhiber ainsi devant nous, indécente et ouverte. Et il lui faisait faire, encore et encore, des tours de manège. Le contraste des couleurs : le bleu limpide de l’eau, le blanc puis le noir de leurs peaux, le rouge fluo du matelas, puis le vert profond de la pelouse et enfin l’orange du soleil couchant embrasant le ciel ! Toutes ces couleurs crues qui se chevauchaient, la position également crue de leurs corps presque imbriqués mais encore distants, glissant sur la surface ! Quand leur embarcation arrivait à ma hauteur, Céline relevait légèrement les yeux et me souriait tout en me fixant intensément. Puis elle recouchait son visage et ses paupières se fermaient, comme pour savourer ces instants magiques et déjà imaginer dans ses pensées où ils allaient la faire dériver et échouer !
    
    Les neurones s’entrechoquaient dans ma tête : « Quelle salope quand même ! Montrer sa chatte à son amant, le laisser la mater devant moi son mari ! Et elle ne doit rêver que de se faire enfiler après par sa bite, de la pomper comme une folle ! »
    
    Et en même temps ces paroles me faisaient bander encore plus dur. Une douce voix m’arracha à mes fantasmes :
    
    — Alors mon chéri, tu fais quoi … ne reste pas tout seul, viens te baigner avec nous !
    
    Finalement elle n’avait pas tort. Je fus le dernier à me mettre nu pour les rejoindre. Quelques ...
    ... brasses pour m’habituer à la fraîcheur relative de l’eau, puis une petite coulée pour me mouiller totalement. J’émergeai pour nager jusqu’à la tête du matelas. Le moteur semblait en panne : Mamadou ne battait plus des pieds. Je caressais tendrement les épaules de mon épouse et mes lèvres se posèrent sur les siennes. Nous échangeâmes un baiser passionné, sûrement symbolique comme celui de Judas, un peu comme le tribut ou le dédouanement qu’elle me payait là pour s’abandonner après à un autre. Je laissais avec délice et appréhension nos langues se nouer et nos salives s’échanger dans nos bouches. Je comprenais que son désir devenait plus puissant, incontrôlable, et qu’elle allait chavirer dans les abysses du plaisir et de la luxure. Mes doigts sautillaient le long de la cambrure de son dos pour atteindre la chute de ses reins et dessiner délicatement les rondeurs à la base de ses fesses.
    
    — Alors Mamadou, maintenant que vous les avez encore vues de plus près elles ne sont pas parfaites ses fesses ?
    — Euh si …
    
    Mon index courait sur leur pli inférieur, puis remonta lentement sur l’intérieur des cuisses, et bifurqua pour éviter la fente palpitante. Céline laissa échapper un léger soupir, étrange murmure de contentement et de déception ! Mes mains empoignèrent à nouveau ses fesses et les massèrent comme précédemment, sauf qu’avant elle portait encore sa culotte, alors que là elle était complètement nue. Je les malaxais avec frénésie, les écartant sans pudeur, offrant le velouté de ...
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