1. Les vacances de Julie (9)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... sa mouille. Alors j’ai retiré ma bouche, mais poussé mon doigt un peu plus profond entre ses fesses.
    
    — Tu sens bon, lui ai-je dis, très simplement.
    
    — M... Merci.
    
    — Mets toi à genoux.
    
    A genoux dans l’herbe, entre mes cuisses, elle m’a regardé ouvrir mon short et sortir mon sexe de mon boxer. Elle a posé ses mains dessus, mais une claque lui a fait changer d’avis.
    
    — Ce soir tu es mon jouet et tu vas faire exactement ce que je te dis.
    
    — Oui, Monsieur, désolée.
    
    D’une main, j’ai attrapé mon sexe à la base et de l’autre, les cheveux de Julie. J’ai poussé mon gland contre ses lèvres entrouvertes, puis contre sa langue, et menant la danse avec ses cheveux entre mes doigts, j’ai enfoncé mon sexe entier au plus profond de sa gorge, son nez écrasé dans mes poils pubiens. Julie n’en était clairement pas à son coup d’essai avec moi, elle savait me sucer à la perfection. Elle savait me sucer si parfaitement que c’était toujours très excitant de l’entendre tousser et s’étouffer, de sentir sa bave épaisse et collante couler sur mes testicules. Je ne l’ai bien sûr pas relâchée, au contraire, je l’ai encore plus tirée vers moi. Si j’avais pu, j’aurais fait rentrer mes couilles dans sa bouche avec tout le reste. Non, je ne l’ai relâchée quand, au bord de l’asphyxie, elle a tapé sur mes cuisses, suppliante. Les yeux plein de larmes, la bouche dévastée, elle a déversé un flot de bile sur sa poitrine avant même que l’air ne retrouve le chemin de ses poumons. Quel ...
    ... souillon.
    
    Pour autant, je n’en avais bien sûr pas fini avec elle. J’ai à nouveau attrapé ses cheveux pour l’attirer vers moi, et cette fois j’ai baisé sa bouche. Brutalement. Je voulais me faire jouir, rien d’autre, et j’utilisais sa bouche comme si je l’avais fait tout seul, à la main. Rapidement, et sans me retenir. J’étais terriblement excité par les bruits gutturaux qu’elle faisait, par la salive que je sentais couler le long de ma queue, et par la situation de manière générale. A quelques mètres d’ici, derrière les arbres, dans un autre bungalow, un couple de retraités devait sûrement être en train de dîner. L’envie de jouir m’a pris alors que Julie était sur le point de vomir à moitié sur mon short. J’ai rapidement attrapé le verre de vin de Julie sur la table, et j’ai éjaculé dedans. Trois belles rasades de sperme épais flottait au-dessus du liquide doré.
    
    — Bois ça, ai-je dis à Julie en lui tendant son verre.
    
    Le souffle encore court, elle s’est exécuté, et a bu le mélange de vin et de semence presque cul sec.
    
    — Merci Monsieur, m’a-t-elle dit à voix basse.
    
    — Je t’en prie. Maintenant écoute moi bien, lui ai-je répondu en retirant mon short, voilà ce que tu vas faire maintenant. Tu vas enfiler ton mini-short et ton haut de maillot, et aller me laver ce short que tu as dégueulassé. Tu vas y aller avec cette tête de trainée et je veux que tu reviennes avec la même tête. Compris ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    — Allez, file. Et dépêche toi. La soirée ne fait que commencer. 
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