1. Les vacances de Julie (9)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Trash, Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    Pour arriver au camping, il a fallu emprunter une petite route en terre au milieu des arbres. Le coin semblait paradisiaque, perdu dans la nature. A l’accueil, une dame d’une quarantaine d’années a enfourché son vélo pour nous montrer notre bungalow. Il s’agissait en réalité d’une toute petite cabane où, selon la gérante, il y avait tout le nécessaire. Mais cette cabane à peine plus grande qu’une boîte à chaussures était perchée sur les hauteurs du camping, au milieu des arbres, et donnant sur la rivière. De ce fait, c’était une cabane sans vis-à-vis. Dans notre cas, cela pouvait être un avantage.
    
    L’intérieur était pour le moins sommaire. A droite en entrant, une petite kitchenette, un mini frigo, une mini table. A gauche, la chambre, juste assez grande pour accueillir un lit deux places et une penderie. Les toilettes et les douches étaient communes avec le reste du camping, ce qui ne nous dérangeait pas plus que ça. L’extérieur par contre valait le détour puisque sous un grand parasol, une petite table et quatre chaises étaient installées face à la rivière en contre-bas.
    
    Aussitôt installés, Julie a fouillé dans le sac pour y prendre une serviette et sa trousse de toilette, et m’a dit se rendre aux douches avec un petit sourire en coin, me rappelant, si c’était nécessaire, ce pourquoi elle avait tant besoin d’une douche. Elle m’a demandé si je venais avec elle, mais il fallait que je passe à la réception pour régulariser notre location, et j’allais en profiter pour ...
    ... faire quelques courses à la superette du camping. Vu les prix, je n’y ai pas pris grand-chose. Seulement de quoi faire une salade rafraichissante, et de quoi grignoter le soir.
    
    Quand je suis revenu au bungalow, Julie était dans la pièce principale. Elle portait un mini-short en coton bleu turquoise, et était en train de se sécher les cheveux avec sa serviette. Me voyant arriver, elle s’est glissée contre moi pour m’embrasser. Je l’ai évidemment embrassée en retour, glissant ma langue dans sa bouche, puis ma main s’est saisi de son sein, que j’ai serré fort, assez fort pour la faire grogner.
    
    — Les règles sont les mêmes ici, ma chérie. A poils, et plus vite que ça.
    
    — Oui Monsieur, tout de suite.
    
    Et le mini-short en coton bleu turquoise s’est retrouvé sur au sol.
    
    — Quand on sortira, je te dirai comment t’habiller. Mais que ce soit ici ou sur notre terrasse, tu es à poils. Compris ?
    
    — Oui Monsieur, désolé.
    
    Le reste de l’après-midi s’est déroulé tranquillement. On a tous les deux préparé le repas, puis on a mangé sur la terrasse. Julie, évidemment nue, regardait moins son assiette que les alentours, persuadée qu’on allait la voir. Après quoi nous avons fait une petite sieste. Une sieste sage. A peine ai-je tenu l’un de ses seins pendant que je dormais. Vers quatorze heures, frais comme des gardons, on a décidé d’aller se baigner à la rivière. Encore une fois, le soucis du maillot se posait, la seule culotte présentable de Julie ne l’étant plus du tout. Aussi nous ...
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