Les vacances de Julie (9) - Histoires de Sexe

Les vacances de Julie (9)

... sommes retournés à la boutique du camping, j’ai pris un simple short de bain pour moi et j’ai choisi pour Julie un bikini rouge, assez fin, dont le haut était très décolleté et, comme le bas, tenait par des ficelles sur les côtés.

— Un maillot de bain deux pièces ? m’a-t-elle demandé étonnée.

— Ne t’y habitues pas trop. C’est juste qu’il y a trop de monde dans ce camping, et que je ne veux pas qu’on se fasse virer tout de suite.

Mais cela n’allait pas être si facile. Je lui ai demandé sa taille et lui ai pris une taille trop petite. Résultat: une fois au bungalow, lorsqu’elle l’a essayé, les seins de Julie dépassaient outrageusement du haut, et le bas rentrait dans ses fesses comme s’il s’agissait d’un string. C’était presque plus provoquant comme ça que nue, et l’idée me plaisait beaucoup. Nous sommes quand même restés relativement sages une fois sur la plage. Elle grouillait de monde, de toute façon. Julie n’arrêtait pas d’essayer de décoller la culotte d’entre ses fesses, évidemment sans succès.

— Tu es un sadique, m’a-t-elle dit entre les dents.

— C’est pour ça que tu m’aimes.

Le sourire sur son visage voulait tout dire. J’ai flatté sa croupe du plat de ma main avant de me lever et d’aller me baigner. Elle m’a très vite rejoint dans cette eau dont la fraîcheur faisait un bien fou ! La plage du camping était sympa. Assez grande pour y être bien installé sans être trop dérangé. A deux pas des logements. Nous ne regrettions pas notre choix. Dans l’eau, ...

... Julie et moi nous embrassions, et j’ai rapidement glissé mon doigt sous le bas de son maillot. Deux doigts ont commencé à la pénétrer, un dans son sexe, l’autre dans son cul. Un peu surprise, Julie a poussé un gémissement de contentement.

— Pour l’instant on profite, tranquillement, lui ai-je dit en la tenant bien contre moi. On fait les amoureux en vacances, comme n’importe quel couple d’amoureux en vacances.

— Mais ?

— Mais ce soir, tu es à nouveau ma chienne. Compris ?

— Oui Monsieur. Vivement ce soir alors. Ceci dit, j’ai jamais arrêté d’être ta chienne. C’est vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

Elle m’a embrassé, langoureusement, divinement, avant de nager un peu plus loin, et de regagner la plage. J’ai souri en la regardant essayer à nouveau de décoller sa culotte d’entre ses fesses, puis de faire rentrer un peu mieux son sein, dont le téton dépassait, dans son haut. Je la trouvais belle, désirable, et de ce fait, il a fallu que je reste une petite minute de plus dans l’eau pour calmer mon début d’érection.

Nous avons passé tout l’après-midi sur la plage. Dormir, nager, manger une glace à l’eau. Comme lorsque je faisais du camping étant plus jeune avec mes parents. Comme nous étions au cœur des gorges de l’Ardèche, le soleil s’est rapidement retrouvé caché par les falaises, il a commencé à faire frais, et on a décidé de rentrer, comme la plupart des gens d’ailleurs. Cette fois-ci, j’ai accompagné Julie aux douches. D’un côté les femmes, de l’autre les ...