1. Un massage révélateur


    Datte: 06/05/2018, Catégories: 2couples, voisins, fsoumise, hsoumis, Oral hsodo, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... surprise. Mais de toute façon, en face, la femme a quitté son observatoire.
    
    Il faut vraiment être curieuse et en manque de sensations fortes pour faire ce que je fais.
    
    Les trente minutes écoulées comme l’a dit ma voisine, je passe la porte de leur maison.
    
    Personne. Comme demandé, je donne un tour de clé derrière moi. Je retrouve l’escalier qui descend au sous-sol. Quinze marches. Un petit couloir. La porte en face, je la connais : elle donne dans la pièce où j’ai soigné Régis. Juste avant, porte droite. La pièce est sombre. Un fauteuil en osier qui fait face à un rideau. Je tire sur la corde, et la lumière entre dans la pièce à mesure que le tissu libère la fenêtre. Non, pas une fenêtre : un miroir. Je comprends : un miroir sans tain. Ce genre d’objet que l’on ne trouve que dans les romans depuis qu’on a inventé les caméras miniatures. Un objet désuet, comme le lit que je reconnais de l’autre côté de la cloison. Un lit avec des barreaux.
    
    Il me faut quelques secondes avant de m’asseoir dans le fauteuil. Il faut dire que j’en prends plein les yeux. Je voulais savoir ce qui se passait chez mes voisins et me voici voyeuse de partouze !
    
    Mon ex-patient, Régis, doit être guéri ou à tout le moins ne plus souffrir, car il est à quatre pattes sur le lit, nu comme un ver, avec la bouche prise par le mandrin de mon voisin. Et Hugo n’y va pas en douceur : il tient la tête de l’homme entre ses mains et se baise profond dans la gorge.
    
    La femme de Régis est, elle, ...
    ... tranquillement assise sur le lit, appuyée contre les barreaux.
    
    Agnès et l’homme que je ne connais pas sont de l’autre côté. Justement, Agnès est en train de tirer sur ce que je découvre être un plug qui occupait le cul du soumis. Elle accompagne ce mouvement par des claques sur les fesses, mais ne s’attarde pas, cédant la place à l’inconnu. L’homme bande fort. Il empoigne les fesses, les écartèle pour dégager l’anus, et sans fioritures se place pour sodomiser Régis. Le coup de reins est brutal ; il manque déséquilibrer l’enculé qui vient s’empaler un peu plus sur la queue qui lui occupe la bouche. J’espère que le cul est bien lubrifié, car même déjà entrouvert par le gode, la charge est violente.
    
    Voici Régis pris en sandwich par deux hommes. Deux hommes qui ont fait de lui leur jouet.
    
    Leur jouet ou bien celui d’Agnès qui tourne autour d’eux, leur parle, flatte une fesse, claque une autre, masse les couilles pendantes et de temps en temps se dirige vers Claire pour déposer un baiser sur ses lèvres et l’encourager à se caresser du spectacle de son mari. Elle l’aide même à enlever sa robe. Une robe sous laquelle elle est nue. Et Claire se caresse. Autant les trois hommes sont dans un trip de brutalité, autant Claire est délicate. Une main qui enveloppe un sein, tire sur un téton, alors que l’autre disparaît entre les cuisses.
    
    La sonnerie de mon téléphone sonne. Agnès m’avait demandé de le prendre avec moi.
    
    — Tu es là ?
    
    Le tutoiement ne me surprend même pas. Il paraît si ...
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