Un massage révélateur
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
2couples,
voisins,
fsoumise,
hsoumis,
Oral
hsodo,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... compris que je suis une « dominante » pour qui veut bien se soumettre à mes envies pour le plaisir de tous. Je te trouve très belle. Troublante. Innocente, pour ma perversité. Veux-tu devenir ma « soumise » ? J’en rêve depuis huit jours. Depuis que je t’ai vue l’autre jour, j’ai envie. Envie de toi. Envie de te diriger. Envie de te faire connaître des plaisirs inconnus. Le veux-tu ?
Ces quelques paroles me troublent. Je n’ai aucune expérience des relations dominant/soumis, mais je m’attendais à quelque chose de plus tranché. Un maître, ou une maîtresse, dans mon imaginaire est une personne qui donne des ordres. Pas quelqu’un qui reconnaît avoir une sensibilité, des envies, et qui demande l’accord de l’autre, du moins au début de la relation.
— Oui, je veux bien.
Je pense que depuis plus d’une semaine mon inconscient avait décidé pour moi. Je n’étais certainement pas prête à n’importe quoi, mais la délicatesse de la demande a forcé le barrage de mes certitudes.
— Oh, que je suis heureuse !
Agnès est rayonnante. Elle se lève. Tire sur mes bras pour m’amener en face d’elle. Sa bouche est déjà sur la mienne. Sa langue est une intruse bien vite acceptée. Mon premier baiser de femme. Une langue intrusive qui joue et repousse la mienne. Et puis la même langue qui se glisse dans mon oreille. Des mains qui me caressent.
— Déshabille-toi ! dit la maîtresse que je viens d’accepter. Il va falloir trouver mieux… dit Agnès alors qu’elle examine ce que mon polo et mon ...
... pantalon découvrent.
Elle parle de ma lingerie. Mais c’est dimanche, et je m’habille confortable. J’ai plus sexy, mais depuis que j’ai déménagé aucun homme ne m’a donné l’occasion de le mettre.
— C’est confortable, et je…
— Tais-toi, petite sotte ! Ne parle que si je t’y autorise. Enlève ces horreurs. Penche-toi que je te corrige.
Depuis mon enfance, jamais je n’avais reçu la moindre claque, et encore moins sur les fesses. Je ne sais si mon visage n’est pas plus rouge que mes fesses après cette fessée chargée de symbole.
— Déshabille-moi.
La fermeture Éclair de sa robe est si longue que j’ai l’impression de la séparer en deux. Elle tombe facilement au sol. Sa lingerie est délicate. Le soutien-gorge n’a pas de bretelles, bretelles qui auraient défiguré les épaules nues. Le slip, dentelle légère, taillé si près de son corps qu’une partie semble greffée dans le sillon des fesses.
— Caresse-moi. Montre-moi ce dont tu es capable. J’espère ne pas avoir fait une erreur en te choisissant.
Le défi est évident. D’autant plus évident que je ne l’ai jamais fait avec une femme. Mais pas question de le reconnaître.
D’abord, c’est à moi de l’embrasser. Juste quelques baisers sans profondeur sur ses lèvres humides. Ma bouche qui descend le long du cou, suivant la veine jugulaire que je sens battre. Une impression, ou bien la maîtresse-femme que je dois caresser est moins insensible qu’il n’y paraît ? Les battements du cœur sont rapides. Ainsi, ce n’est pas un être de ...