1. Police polissonne (42)


    Datte: 11/03/2021, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... tourneraient mal.
    
    — Je comprends ta décision, je l’accepte et la respecte, mais tu pourras me donner de tes nouvelles de temps en temps ?
    
    — Si tu veux, mais si tu rencontres un jour une femme qui te plaît ; prends-la. Jure-le-moi.
    
    — Je te le promets..., je te le jure. Je voudrais que nous mangions ensemble ce soir ; tes camarades ne rentrent théoriquement que demain matin.
    
    — D’accord, mais à une condition.
    
    — Que tu m’invites dans ta chambre et que tu me fasses l’amour.
    
    — Comme un adieu ?
    
    Sonia reste sans réponse, car elle a aussi de la peine à quitter cet homme qui lui correspond parfaitement bien ; mais elle s’est fait une promesse. Même si l’amour l’a rattrapée, elle ne restera pas pour ne pas trahir la confiance du commissaire ; et surtout la promesse qu’elle a faite à sa mère. Elle fait une pirouette pour ne pas trop chagriner le sergent ou peut-être pour se rassurer et dit :
    
    — Écoute Bob, si je mène à bien ma mission, et que tu es encore libre ; alors si je peux, je reviendrais.
    
    — Alors je t’attendrais.
    
    — Non, fais ta vie sans t’occuper de moi, je ne veux pas que tu laisses passer l’occasion de faire ta vie ; tu sais aussi que je ne pourrais jamais te donner d’enfants. Je voudrais que ce Noël reste gravé dans ma mémoire comme le plus beau des Noëls.
    
    — Alors, accorde-moi une faveur, s’il te plaît.
    
    — Accordée d’avance.
    
    — Non, sérieusement, je voudrais que tu m’accompagnes ce soir, il y a un petit restaurant bien sympa à Sissonne. ...
    ... Nous irons y manger en amoureux, Sonia, fais-moi rêver une dernière fois.
    
    — C’est d’accord, et après manger, nous ferons l’amour.
    
    — Merci, je viendrai te chercher après les couleurs.
    
    — Je serai prête.
    
    Le soir venu, elle choisit de porter la robe argentée sans rien dessous en son honneur. Au restaurant, elle fait fureur et attire tous les regards. Elle tient sa promesse, et lui sert un festival de câlins et de caresses pendant tout le repas. Ils se sont installés côte à côte sur la banquette, permettant ainsi au sergent de glisser sa main par la fente de sa robe, et le laissent s’amuser en lui touchant la fente. Après de nombreux attouchements, il s’arrête comme si quelqu’un l’avait démasqué ; mais en réalité, c’est à cause d’une question qui taraude l’esprit du sergent :
    
    — Dis-moi, j’aimerais bien savoir ce que vous vous racontiez avec l’homme dans la boîte, car il t’a fait sourire, et si j’ai bien, vu tu riais.
    
    — Ah, Monsieur est curieux, ou inquiet ou peut-être jaloux ?
    
    — Non pas du tout, c’est par simple curiosité ; mais si tu ne veux pas en parler, ce n’est pas grave.
    
    — Tu parles, je n’ai rien à cacher. Au début, il me complimentait sur mon corps, et puis il s’est mis à fredonner une chanson qui parlait des tétons de Valentine, je n’ai rien compris et là, il m’a fait rire. Il m’a dit en plaisantant que comparé à certaines..., comment il les a appelés ? Ah oui : dondon ! C’est ça dondon ; que j’avais de trop petits seins pour produire du lait à tout un ...
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