Police polissonne (42)
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... régiment. Alors je lui ai dit que ce n’était pas gentil de se moquer, il m’a répondu qu’il n’était pas là pour être gentil et c’est là qu’il m’a pincé les tétons tellement fort que j’en ai pleuré. Quand il me faisait mal et que les larmes venaient, il s’arrêtait de me fouetter et me disait que je n’avais qu’à en faire autant à mon mec, jusqu’à le faire beugler de douleur ; j’ai alors éclaté de rire en pensant que c’était leBoss qui était à ma place. Tu sais, ce mec m’a donné plein d’idées pour après, voilà tout ; pas de quoi en faire un fromage.
— Dommage que je ne sois pas ce fameuxBoss...
— Je ne crois pas, car je te jure que le jour où je vais le choper, il va, ... Comment vous dites dans l’armée ? Morfler, c’est ça ? Je vais le massacrer, il va prendre cent fois ce que j’ai subi, termine-t-elle avec hargne.
— Oui, c’est ça ; alors tu as raison, je vais rester tranquillement ici.
Après le départ du dernier client, elle profite de l’absence du serveur pour se glisser sous la table pour tailler une magistrale pipe, en amenant le sergent à la limite de l’éjaculation. Dans l’urgence, il règle la note, entraîne Sonia sous une porte cochère et la prend debout. Appuyée contre le mur, elle enroule ses jambes autour de la taille du sergent pour qu’il la pénètre au plus profond de son vagin ; cet acte aussi soudain qu’imprévu les emporte dans une jouissance commune. Ils savent tous les deux que cette étreinte est la dernière, alors ils donnent tout pour qu’elle reste ...
... gravée à tout jamais dans leur mémoire.
Lorsqu’elle rejoint la chambrée, Olivier et Myriam sont rentrés. En la voyant dans sa robe argentée et les cheveux en bataille, il la harcèle de questions pour savoir ce qu’elle a fait pendant cette semaine et d’où vient cette robe. Myriam lui demande même de l’essayer pour mettre le feu à Olivier.
— Bon, alors raconte-nous ton Noël ? s’impatiente Myriam.
— Pas avant que vous m’ayez dit ce que vous avez fait, rétorque-t-elle.
— Nous avons passé toutes les fêtes ensemble, nous sommes allés voir nos deux familles et nous allons voir s’il est possible qu’Olivier rejoigne la douane volante à Aix avec moi.
— Cool ! Vous êtes amoureux, alors je vous souhaite tout le bonheur du monde ; je suis heureuse pour vous.
— Et toi ?
— Moi, grâce au sergent, j’ai rencontré plein de monde, je me suis super bien amusée [...] et j’ai aussi travaillé mon code.
Elle ne leur raconte pas en détail ses exploits de la semaine, mais brode autour de la réalité ; ils sont également ravis qu’elle ait pu passer de bons moments. Au fil des heures, la caserne se remplit et la vie militaire reprend le dessus, le clairon sonne les couleurs ; la chambrée s’endort pour se préparer à la dernière phase de la formation.
Il fait encore nuit et le clairon du branle-bas a à peine résonné dans toute la caserne que le sergent est déjà dans la chambrée, sans un regard pour personne ; il hurle de sa voix douce et délicate :
— Branle-bas, branle-bas ; tout ...