1. La belle-soeur de mon copain


    Datte: 05/03/2021, Catégories: fh, couple, voisins, copains, campagne, amour, pénétratio, init, Auteur: Alaiko, Source: Revebebe

    ... m’envahit.
    
    — Marie, c’est bon ce que tu fais…
    — Avec toi, j’aime faire l’amour, j’aime ta bite ; tu donnes tellement de douceur… Comment ne pas avoir envie de me donner à toi, me faire désirer, te posséder ?
    — Nous pouvons prendre une douche ?
    
    La réponse de Marie me surprend :
    
    — Demain matin. Je te dirai pourquoi ; cela ne presse pas.
    
    En effet, je ne comprends pas ; mais voyant son sourire, la façon dont elle me serre dans ses bras, je comprends que la raison de ce report doit lui convenir. Je ne veux pas aller contre ; elle penserait que je ne veux pas garder de traces de nos ébats sexuels.
    
    Pour dormir, Marie désire que ma bite soit entre ses cuisses, une de mes mains sur un sein, l’autre sur son ventre ; les siennes : une sur ma cuisse, l’autre tenant mes couilles contre sa chatte. Position agréable ; les couvertures sur nous, le nid est confortable. Je m’endors.
    
    À 5 h du matin, j’ai une envie pressante. Je me dégage de son corps ; incroyable, nous étions toujours unis ! J’en profite pour remettre du bois dans la cheminée, il reste des braises. Je regarde dehors : il ne neige plus. J’enfile un pull, ma combinaison, une veste, je chausse les bottes : il faut aller faire la trace jusqu’à la route pour le laitier, puis autour de l’étable. Par contre, j’oublie que mon invitée n’a pas dit son dernier mot.
    
    Après une heure de travail, tout est dégagé avec le tracteur. Il est 6 h, je vais faire la traite. Celle-ci achevée, je donne du foin aux vaches. Il ...
    ... est 8 h quand je rentre à la maison. Je quitte mes bottes et pousse la porte d’entrée ; une bonne odeur de café et de pain grillé me parvient. C’est agréable, mais je suis en dette vis-à-vis de ma cuisinière : elle va se payer !
    
    Marie prend ma veste et la suspend. Je remarque qu’elle porte une robe de chambre de mon ex ; elle était restée dans la machine lors de son départ, et je l’avais laissée dans la chambre sur la commode, au cas où elle serait venue la récupérer.
    
    Je prends place à table, heureux, pour déguster un bon déjeuner. Tout est prêt.
    
    — Pierre, je me suis permis de prendre la robe de chambre.
    — Pas de souci ; en plus, la taille te va bien.
    
    Cette collation fait du bien, je termine tout. Marie sourit, elle apprécie. Je me lève et vais vers elle. Mes mains se posent sur ses joues ; avec mes pouces, je fais le tour de ses lèvres. Ses yeux brillent. Mes doigts découvrent la douceur de sa peau ; le léger duvet vers le lobe de ses oreilles apporte une touche de plaisir. Nous nous enlaçons ; ses lèvres ont encore le goût du café, j’adore ! Nos corps se collent, les fermetures de ma combinaison glissent au niveau de mon nombril ; elle la dégage de mes épaules et mon vêtement tombe à mes pieds. Il ne reste que le pull. Ses mains l’enroulent, le remontent ; passage de ma tête. Je ne comprends pas l’astuce : la robe de chambre est à ses pieds. Je suis tellement absorbé par mon déshabillage que je n’ai pas vu le moment où Marie a ôté son peignoir.
    
    Nos corps se ...
«12...6789»