1. Résonance primitive - 5


    Datte: 28/02/2021, Catégories: fh, frousses, extracon, fsoumise, hdomine, contrainte, fgode, fsodo, attache, Humour fsoumisah, Auteur: Lokz, Source: Revebebe

    ... bourgeoise chagasse suscite l’outrage et l’envie d’irrespect… Je sais ce que je vais faire.
    
    — Retire tes grolles !
    — Des bottes à 200 euros, t’appelle ça des grolles !
    
    Je la saisis à la gorge ;
    
    — Fais pas la maligne ! Exécute !
    
    Pendant qu’elle se déchausse, je vais chercher un vieux drap au fond de mon armoire, et découpe de longues bandes de cinq centimètres de large environ, sous son regard dubitatif. Elle comprend évidemment où je veux en venir, et hésite entre l’idée qu’elle s’était faite et l’excitation de ce que je lui promets.
    
    — Assieds-toi sur le bord du canapé, jambes écartées, et attrape tes chevilles avec tes mains.
    — Je ne retire pas ma robe ?
    — Non.
    — Ni mes collants ?
    — Non plus.
    
    Une fois en position, j’attache ses poignets à ses chevilles, soigneusement et fermement, avec mes bandes découpées. Puis je la saisis par les pieds et la bascule en arrière. La voilà dos à plat, la tête un peu cassée par le dossier, jambes écartées/pliées et bras tendus en l’air, totalement à ma merci. Je flatte son entrejambe, le presse, et la regarde frémir de cette position follement indécente. Je bafoue sa beauté avec délice et en découvre une autre, plus sauvage.
    
    Tu peux me faire tout ce que tu veux. Absolument tout. La phrase de Manon résonne dans mon cerveau, accélère mon souffle, attise mon vice. Laure me regarde, perverse. Elle se délecte de mes émotions qui font fondre mon masque. Sa respiration est forte pendant que je presse à pleine main sa chatte ...
    ... encore prisonnière. J’ai tout pouvoir sur elle, et ce sentiment de puissance est comme un shoot qui dilue ma raison.
    
    Je me redresse et me dirige vers mon bureau. Il ne me faut que quelques secondes pour trouver ce que je cherche au milieu de mon bordel. Lorsque je reviens me mettre à genoux devant son cul en offrande, c’est pour faire jaillir, dans un coup de poignet, la lame de mon vieux cran d’arrêt. Le claquement sec la fait tressaillir, mais le défi dans ses yeux ne cède pas. C’est un cran d’arrêt de pacotille, mais il fera l’affaire. Un petit trou près de la couture de l’entrejambe et je déchire en grand son collant, libérant son cul et le haut de son ventre. Pour le tanga, pas le choix. Je promène la pointe quelques instants sur sa peau de rouquine, et je coupe, de chaque côté, au niveau des hanches. Si elle n’a rien dit pour le collant, elle se rebelle pour sa lingerie fine. Question de principe sans doute.
    
    — Hé, tu sais combien ça coûte ? Je l’ai pas acheté en grande surface par paquet de trois comme tes slips moisis !
    
    Elle a raison… Pour la faire taire, je lui fourre dans la bouche sans grand ménagement.
    
    — Tiens ! bouffe-la ta culotte ! Font pas de carte de fidélité pour femme infidèle dans ta boutique de lingerie ? Dix culottes déchirées, une gratuite. Ou dix paires de bas souillés, un porte-jarretelles gratos ?
    
    Elle ne râle plus. Faut dire qu’elle est facile à calmer. Deux doigts dans la chatte suffisent. Je suis rentré facilement, comme d’habitude. ...
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