Nemo auditur propriam turpitudinem allegans
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
cocus,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... me tenant par les seins. Je ne peux plus dire non, je ne veux plus dire non. Je sens une honte effroyable s’abattre sur moi à mesure que mon plaisir s’accroît. J’aime comme il me prend, j’aime sa queue qui me perfore, et je hais cet homme qui me regarde. De la haine, oui, c’est ça, de la haine.
En regardant Roland dans les yeux, je demande à Michel de me baiser plus fort, je hurle qu’il me fait du bien, que j’aime sa queue, que je le sens bien. Je dis des mots crus, abjects, dégoûtants, et je les dis avec plaisir. Je lui demande de me défoncer, de me salir, de me déchirer. Je crie que jamais personne ne m’a jamais aussi bien baisée, que je ne veux pas qu’il jouisse tout de suite, que j’en veux encore. Je dis n’importe quoi, mais tout est vrai. Il se déchaîne dans ma chatte et j’aime ça.
Le visage de Roland s’est déformé. Il est vert de rage et même temps qu’il exulte. La douleur lui fait du bien, elle le motive et le transcende. La douleur le rend beau. Il veut souffrir, il souffre. Pas sous les coups, pas sous le fouet, juste en regardant et en entendant sa femme se faire sauter comme une salope, sous ses yeux.
Je n’ai plus de limites. Je le hais tellement que je veux lui faire encore plus mal, et me faire encore plus de bien. Quand Michel a craché sur mon cul j’ai compris ce qu’il voulait faire et un instant, j’ai failli refuser. Refuser pour de bon. Mais ce ne fut qu’un instant. Celui d’après, j’ai écarté mes fesses et saisi sa queue pour lui montrer le chemin. ...
... Et je lui ai demandé de m’enculer. Encule-moi, encule-moi, sans quitter Roland des yeux, un Roland aux abois, qui a craché son foutre sur le tapis, l’air médusé.
Je n’ai pas aimé la suite immédiate, quand Michel a poussé. La douleur a été trop forte, trop intense. Il s’est arrêté un instant avant de reprendre, et je l’ai laissé finir dans mon cul, mais je n’en ai obtenu aucun plaisir physique. Mon seul plaisir, finalement, aura été de voir la gueule de mon mari à ce moment-là.
Voilà, nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes. Je ne pourrai jamais reprocher à Roland de m’avoir trompée, puisque j’ai fait la même chose. Je n’ai appris qu’après qu’en réalité j’avais été le dindon de la farce. Ou plutôt la dinde. Roland était au courant de la venue de Michel, et s’était arrangé pour arriver plus tard. Il avait attendu patiemment que je me laisse faire, puis était entré au bon moment, le moment auquel j’allais céder. Il est resté maître du jeu, totalement.
Depuis, je ne pense plus qu’à ça. Sans lui, sans ce stratagème dont j’ai été la victime, je n’aurais jamais connu le plaisir intense que m’a donné Michel. Sans lui, jamais je n’aurais osé me masturber devant un homme. Sans lui, jamais je n’aurais osé coucher avec quelqu’un d’autre que mon mari. Sans lui, jamais je n’aurais accepté qu’un homme me sodomise. J’éprouve une honte immense et dans le même temps, je sens bien mon corps réclame des expériences que ma conscience déclame.
La soirée ne s’est pas terminée ...