Nemo auditur propriam turpitudinem allegans
Datte: 05/05/2018,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
cocus,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... l’exciter.
Il s’arrête et se redresse, fier, le sexe tendu. Il saisit ma main pour que je reprenne le mouvement. Je le masturbe doucement au-dessus de mon ventre. Petit à petit il remonte vers mon visage. Je le vois venir. Il croit que je vais le sucer. Même si j’en ai très envie, je ne peux pas. Je ne veux pas. Il se contentera de ce petit coup de langue, puis de cet autre. Il force ma bouche que j’entrouvre pour prendre quand même un peu son gland. Il rentre avec peine. Je dois m’arrêter là.
Je le masturbe encore un peu avant de dire stop. J’ai quand même très envie de le sentir dans ma bouche rien qu’un peu, juste pour voir. Je le laisse entrer, il manœuvre avec délicatesse, ressort et entre à nouveau un peu plus. Ça s’appelle sucer ça, non ? Je ne veux pas le sucer et pourtant c’est bien ce que je fais. Il semble adorer ça, et finalement ce n’est pas si désagréable pour moi. Je vais continuer rien qu’un peu, puis le faire jouir avec ma main. Comme ça nous serons quittes.
Si Roland arrivait maintenant, ce serait une catastrophe.
Il me verrait nue, allongée, un homme à genoux au-dessus de mon visage que je suis en train de sucer et de branler, un homme jeune et musclé, bien monté, qui s’enfonce dans ma bouche. Il verrait que je me masturbe en même temps, que mon corps ondule, que je suis au bord du précipice. Il comprendrait que si mon éducation ne m’en empêchait pas, je serais prête à me mettre à genoux pour que cet homme me prenne, qu’il me baise brutalement ...
... sur notre canapé.
Des images me viennent de mon mari ; j’ai fermé les yeux pour penser à lui et ça ne rend triste. Je suis en train de le trahir et qu’il l’ait fait avant moi n’y change rien, j’ai honte de moi.
Quand j’ouvre à nouveau les yeux, je crois rêver. À ma droite, à quelques mètres, Roland est là qui nous observe. Il est rentré sans bruit et nous regarde. Il m’a vue. Il me voit. Il n’y a pas de colère sur son visage, mais un rictus, un rictus de victoire, comme s’il avait toujours pensé que je le trompais sans jamais me prendre en faute et que ce soir enfin, il me prenait la main dans le sac, ou plutôt les doigts dans la chatte.
Je lâche la queue de Michel. Je suis tétanisée. Il a vu Roland lui aussi, mais ne bouge pas. Je sens ses mains me soulever à nouveau. Je voudrais me lever et courir vers la chambre, me cacher, mais il m’en empêche. Il me force à me lever, me tire par la main derrière le canapé, me retourne et me force à prendre appui sur le dossier, à me pencher en avant et à me cambrer. Je ne parviens pas à me dégager. Déjà je sens son bassin me presser, sa main fouiller entre mes cuisses et sa queue s’insinuer dans ma vulve. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il m’a déjà prise debout, à fond. Sa queue est énorme dans mon sexe, il me soulève du sol en me prenant. Mes yeux pleurent en regardant Roland qui a toujours ce rictus accroché aux lèvres. Il a sorti son sexe de son pantalon et se masturbe en me regardant me faire baiser.
Michel me bourre en ...