1. Nemo auditur propriam turpitudinem allegans


    Datte: 05/05/2018, Catégories: f, fh, extracon, cocus, fsoumise, hdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... physiquement, ou vous aider à lui faire mal physiquement ?
    — C’est une possibilité, oui. Mais depuis notre dernier entretien, je ne cesse d’y penser. J’avais imaginé au début que vous me guideriez, que vous me diriez quoi faire. J’ai regardé des vidéos sur le net qui montrent des sortes de supplices. Des hommes pendus par les pieds que leurs femmes fouettent. Des gens qu’on insulte et sur lesquels on crache. De la cire fondue qu’on laisse tomber sur des parties sensibles… Je me suis forcée à regarder tout ça, mais je ne me sens pas capable de faire ça, et surtout, je ne vois pas quel plaisir je pourrais bien y prendre.
    — Je ne vous suis pas…
    — Quant au plaisir ?
    — Oui, c’est ça.
    — Eh bien, disons qu’à chaque fois que j’ai fait des efforts pour lui faire du bien, je m’en suis fait aussi. Mais là, dans ce contexte, je ne me projette pas. Ça me dégoûte presque. Il va le sentir.
    — Je comprends ce que vous dites, Marie. Si vous ne voulez pas infliger de souffrances physiques, faites-le souffrir moralement. À condition bien entendu que ça vous plaise à vous aussi.
    — J’y ai pensé, oui. Et je dois vous avouer que c’est à ça que je pensais avant votre arrivée. Mais j’ai peur que ça aille trop loin, ou de ne pas oser, ou qu’il prenne ça tellement mal que, finalement, je le perde… Bref j’ai peur.
    
    En même temps que nous nous parlons, je ne peux m’empêcher de penser aux images que j’avais en tête avant qu’il n’arrive. Ce type m’effraie. Je m’imaginai l’embrasser et ça ...
    ... m’excitait. Mais là, j’ai du mal. Je ne pourrais pas. Pourtant il me trouble vraiment. Mon indéfectible fidélité est quasiment religieuse pour moi. Tromper est un acte ignoble, une trahison. J’ai subi des actes ignobles et des trahisons et malgré tout j’ai pris sur moi, à chaque fois. Je me suis dit que j’y étais pour quelque chose, que ça venait de moi, que je devais me remettre en cause et pardonner. Mais mes efforts ont été vains, il a remis ça, et je continue de me demander comment faire pour qu’il me revienne.
    
    Michel me regarde. Ses yeux me transpercent d’une infinie rudesse. J’ai peur de lui, et je ressens une forme d’émoi à l’idée qu’il puisse me toucher. J’ai envie qu’il me touche. Pas qu’il me touche partout, non, juste sentir sa main sur la mienne, par exemple, juste pour voir, juste pour vérifier si je ressentirais ou pas quelque chose de particulier. Mais je ne vais pas faire le premier pas et pour tout dire, j’espère qu’il ne me touchera pas, que je n’aurai pas à résister, que la tentation s’évanouira.
    
    — Voulez-vous un autre whisky ?
    — Volontiers, me répond-il en me tendant son verre.
    
    Maladroite, je m’approche pour le servir. Il me regarde et me détaille de la tête aux pieds. Son regard est une agression dont je ressens les piqûres jusqu’à la pointe de mes seins. Ma main tremble quand le liquide coule. Il la saisit fermement en me regardant dans les yeux. Quand le verre est à moitié plein, il me confisque la bouteille et la pose au sol. Il me tire vers lui pour ...
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