1. Nemo auditur propriam turpitudinem allegans


    Datte: 05/05/2018, Catégories: f, fh, extracon, cocus, fsoumise, hdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... m’asseoir sur ses genoux. J’ai envie de dire non, mais pas tout de suite. Il me fait peur, mais j’aime ce sentiment finalement, celui d’être à sa merci, d’être faible entre ses mains.
    
    Il a mis son nez dans mon cou et me hume, sans délicatesse. On dirait un chien qui renifle sa proie. J’ai des frissons partout. Ses mains maintiennent toujours mes poignets. Dès qu’il me lâchera, je me lèverai pour retourner m’asseoir. Mais avant je voudrais qu’il me renifle encore un peu, et peut-être même un peu plus.
    
    Je sens sa langue dans mon cou, une langue large et chaude, humide, autoritaire. Il a lâché l’un de mes poignets et sa main libre a saisi mon cou, comme s’il allait m’étrangler. La pression n’est pas très forte, mais il me tient. Ma respiration devient bruyante, j’ai envie de fuir. Il me fait peur. J’ai posé la main qu’il a lâchée sur la sienne avec l’intention de la tirer pour qu’il lâche mon cou, mais je me surprends à ne rien en faire. Ma main est posée sur la sienne, immobile. Il me lèche jusqu’à l’épaule, et sa main dans mon cou se met à bouger. Je suis le mouvement, docile.
    
    Si Roland rentrait maintenant, il me trouverait ainsi, assise sur les genoux d’un inconnu qui me domine, qui sent que je résiste encore et n’en a cure. Je voudrais qu’il rentre maintenant et que ça s’arrête, qu’il me libère, qu’il empêche cet homme d’aller plus loin. Mais j’aimerais bien aussi qu’il ne rentre pas encore, que je puisse encore un peu sentir cette main ferme qui est en train ...
    ... dégrafer mon corsage, caresser ma peau, juste un peu.
    
    J’ai honte, presque, de me laisser ainsi faire. Mon instinct me dit de stopper, mais mon corps a envie que ça dure encore un peu. Mon corsage est ouvert, et je n’ai rien fait pour l’empêcher de dégrafer mon soutien-gorge. Il va bientôt voir mes petits seins. Cette indécence à laquelle je me laisse aller me fait horreur, mais j’ai envie qu’il les voie, juste un peu, puis après j’arrêterai. Je vais le laisser regarder, peut-être toucher un peu, puis je dirai stop.
    
    Un instant j’ai tenté de maintenir mon soutien-gorge contre ma poitrine, mais il a saisi ma main, et l’a posée sur ma cuisse, fermement, comme pour me dire, « maintenant, ne bouge plus ». Il a tiré les balconnets pour me découvrir et a saisi immédiatement mon sein qu’il s’est empressé d’embrasser.
    
    Si j’étais une femme facile, je le laisserais continuer, tellement c’est agréable. Il me mordille le téton et j’en ressens des frissons jusque dans ma culotte. Mais ce n’est pas raisonnable. Je ne suis pas une femme facile. Pourtant, je vais le laisser continuer encore un peu, d’autant que depuis qu’il a pris mon autre sein dans sa main, mes frissons ont décuplé. Je sens des papillons parader dans mon bas-ventre et cette sensation m’enchante. Ça fait longtemps que je n’avais pas ressenti ça. Il faut que je le stoppe maintenant, je l’ai laissé aller trop loin.
    
    Je n’ai pas eu le temps de prononcer le moindre mot. Il a posé la bouche sur mes lèvres, et sa main est ...
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