1. Je me tape toutes les filles de ma classe (2)


    Datte: 27/02/2021, Catégories: Trash, Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory

    ... pointa le bout de son nez entre elle et moi. Tandis que j’accélérais la cadence au fond de son utérus, Raphaëlle émit une sorte de gargouillement du plus profond de ses entrailles.
    
    " - Sors de ma chatte !... Sors tout de suite de ma chatte ou je te chie dessus !... "
    
    Ravi par cet ordre qui se croyait menace et qui ne faisait que m’exciter davantage par son aspect aussi sale qu’interdit, je poursuivais mes allers-retours sans passion, comme un prisonnier des Baumettes effectuant sa ronde quotidienne, en attendant la libération, matérialisée sous la forme d’un jet de chiasse multicolore sur mon pubis en feu.
    
    PROUT.
    
    Elle me chia sur le pubis. La merde sortit brusquement de son cul, comme l’accouchement-express d’un monstre difforme dû à la rencontre fortuite au cours d’un speed-dating d’une championne du 100 mètres et d’un éjaculateur précoce en cavale. L’avorton de boue s’étala sur les deux globes terrestres dont il n’aurait jamais dû s’échapper, colorant la croupe de ma callipyge d’une teinte café, faisant la nique aux racistes car prouvant que n’importe quel blanc peut devenir café-au-lait suite à un incident. Mon Africaine des fesses se mit à déglutir, puis à vomir entre mes mains que j’avais plaquées sur sa bouche. C’est alors que la citation célèbre de Julien Dray - ( " que l’on soit noir, jaune, rouge, vert ou bleu... ), citation prêchée du politicien moyen à l’antifasciste bon ton pour nous rappeler que, quelle que soit notre couleur, ...
    ... nous sommes tous égaux - prit tout son sens lorsque je contemplais le maelstrom kaléidoscopique de couleurs chatoyantes dégoulinant paresseusement le long de mes grandes paluches recouvertes d’un vomi dont la diversité des teintes ne cessait de me fasciner. Du vert caca d’oie venant des haricots beurre de midi, en passant par l’ocre suranné des croûtes de pain de mie de la veille, toutes les nuances de couleurs laides s’entremêlaient artistiquement entre mes doigts emmycosés par les pelletées de chattes tripotées sans scrupules par ces dix boudoirs pâtissiers vicelards et sans pitié.
    
    J’étalais son vomi dans ses cheveux, pour bien lui faire sentir qu’elle n’était après tout que mon inférieure, avant d’enfoncer ma bouteille de lait dans son baba au rhum recouvert de chocolat. Je ne pus résister bien longtemps. J’éjaculais bruyamment et sans retenue dans ses égouts puants, avant d’en ressortir mon mikado dégonflé pour le fourrer dans sa bouche, afin qu’elle en ôte le chocolat à l’aide de sa langue de pute.
    
    Je pris une douche pendant que Raphaëlle nettoyait sa chambre souillée par la merde, la pisse, le sperme et le vomi. Elle fit de même une fois que je sortis de sa chambre afin de regagner la mienne, située à l’étage du dessus.
    
    A peine allongé sur mon lit, j’entendis quelqu’un toquer à ma porte. Une voix féminine que je ne connaissais susurra mon prénom.
    
    Je me levai de mon lit, pour ouvrir cette porte derrière laquelle m’attendait...
    
    A suivre... 
«1234»