1. Je me tape toutes les filles de ma classe (2)


    Datte: 27/02/2021, Catégories: Trash, Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory

    Elle s’appelait Raphaëlle.
    
    C’était une petite Parisienne tout juste majeure qui se servait parfois de celui-ci pour faire des doigts d’honneurs de manière spontanée à tous ceux qui ne lui plaisaient pas. Un peu gothique sur les bords, bisexuelle par vice et susceptible au point d’être allée se plaindre auprès de la CPE la veille de la rentrée scolaire en raison des paroles maladroites d’un élève qui avait eu le malheur de se moquer des Parisiens et des Parisiennes en les affublant du sobriquet un tantinet désuet de ’’ chochottes ’’, cette jeune fille, pas pucelle pour un sou et affublée de tous les vices, me faisait non pas de l’oeil mais de la fesse, en secouant frénétiquement de gauche à droite et de droite à gauche son postérieur de jouvencelle.
    
    Cette fille puait le sexe. Un célèbre philosophe disait que nous étions ce que nous mangions : cette citation me fit comprendre la raison pour laquelle la peau de la petite Raphaëlle était d’un blanc laiteux tirant vers le grisâtre. Sa bouche, me disais-je, avait dû en voir passer des kilomètres de bite; suffisamment pour que, si l’on mettait bout à bout chacun de ces phallus en action, l’on puisse y parcourir - tel un funambule sur une corde raide, bien raide - Paris- Moscou !...
    
    Je n’eus cette fois-ci pas besoin de lui adresser mot pour conclure mon œuvre de premier forniquant. La belle tendit ses doigts de fées en direction de ma braguette, sous la table de ma salle de classe, avant de caresser langoureusement mon ...
    ... éclair à la vanille dont la crème onctueuse ne demandait qu’à s’évader de sa prison de pâte durcie par la chaleur que dégageait cette petite cuisinière amatrice de liqueur et d’anis étoilé.
    
    17 heures 30 sonnèrent. L’heure de la fin de ce cours qui me semblait interminable venait enfin de s’achever, et déjà Raphaëlle enfilait son sac sur son dos doux que je devinais lisse et sans duvet. Elle m’emmena dans sa chambre. Ferma sa porte à clé.
    
    Comme un Somalien sur un grain de riz, ma petite pétasse de Parisienne se jeta, affamée, sur ma bite. Son rouge à lèvres noir de gotho-pouffe adulescente dessina de grands cercles sombres sur ma Tour de Pise désormais recouverte de maquillage; ses petites mains sur lesquelles un dragon était tatoué faisant alors office d’échafaudage autour de mon bâtiment en cours d’agrandissement mais prêt à s’effondrer. Mon Colosse de Rhodes, colosse aux pieds d’argiles, menaçait de s’écrouler sous les coups de boutoir de sa langue animale, coulissant en tortillons montants et descendants tout au long de ma baguette de pain sans cesse chauffée par le four qu’était sa bouche. Ma tour jumelle était en feu, sa langue était l’avion, je sentais sa salive invasive pénétrer mon urètre, et mon présperme se jeta du haut du 80ème étage lorsqu’il sentit que tout était perdu.
    
    Tremblant de tous mes membres, mon tube de dentifrice n’allait pas tarder à se vider de son contenu pour nettoyer les gencives sales de ma turluteuse, mes poils pubiens risquant de faire ...
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