1. Je me tape toutes les filles de ma classe (2)


    Datte: 27/02/2021, Catégories: Trash, Auteur: malmsteenbatio25, Source: Xstory

    ... office de brosse à dents. Je pensais déjà au festin que mes morpions, dont je savais l’appétit insatiable, allaient déguster : feuilles de salade coincées entre les dents du dernier repas de midi en entrée, filament de tabac de la dernière cigarette sans filtre au rebord du palais en plat principal, et en dessert : déluge de sperme sauce vieille pisse !...
    
    Mon tuyau d’arrosage libéra son jet de foutre dans la piscine à sperme qui servait d’estomac à ma sale petite catin. Ni re-crachat, ni gargarismes : Raphaëlle avala ma semence fertile en flux continu, sans relâche, sans décrisper les mâchoires ni essuyer les larmes de bonheur qui coulaient le long de sa joue et qui atterrissaient, une par une, dans sa cavité nasale, venant ainsi humidifier son mucus jaunâtre lui servant autrefois à consolider les glaires dont elle ne rechignait jamais à se servir en tant que projectile lorsqu’une de ses ennemies la provoquait inutilement.
    
    Ma frite à la mayo se rétrécit soudainement, lorsque Raphaëlle, interloquée par sa fugacité à provoquer une éjaculation abondante chez son partenaire du sexe opposé en moins de dix minutes, décida que c’était à son tour de se faire brouter la chatte. Délicatement, ma Parisienne ôta son jean noir, et se positionna, au milieu de son lit, les jambes écartées, le string rose bonbon pas encore enlevé.
    
    De mes dents aiguisées, je saisis le rebord de son string pour le mâchouiller lentement avant de le déchirer en deux morceaux. A quatre pattes, je ...
    ... déposais, comme un brave toutou, le cadavre de feu son string en contrebas de son plumard. Autour de Raphaëlle, une peluche pokémon me fixait, comme si je n’étais qu’une sous-merde, et cela finit par me mettre mal à l’aise, si bien que je finis par retourner l’insolente peluche côté ventre de façon à ce que son regard courroucé cesse enfin de m’indisposer.
    
    " - Mais qu’est-ce que tu fous avec ma peluche ?... Me serina-t-elle.
    
    - Rien. J’aimais pas son regard.
    
    - Mais ce n’est qu’une peluche !... Me rétorqua-t-elle. ’’
    
    Je rougis soudainement à l’idée saugrenue que cette déesse parisienne ait pu me prendre pour un enfant encore terrorisé par des peluches.
    
    " - Ta peluche n’est peut-être pas vivante, lui fis-je d’un air sournois, mais ta chatte, elle, va brûler de mille feux !... Je suis un pyromane des fruits de mer, ma douce Raphaëlle, sache-le une bonne fois pour toutes !... "
    
    Et je partis à l’assaut de sa moule que je pensais atteinte du syndrome du panier de crabe farci, et que je retrouvais douce, suave, émanant un léger parfum de clémentine me rappelant les fins d’hiver rigoureux chez ma grand’mère maternelle, laquelle faisait sans cesse brûlailler au coin de son âtre Haut-Soânois des restes de pelures d’oranges afin d’embaumer délicieusement l’atmosphère de son humble logis par des effluves printaniers pour oublier la neige et la nuit noire et glacée des hivers Marnaysiens.
    
    Son clitoris gonflait à vue d’œil, comme un ballon de baudruche sur le rebord en ...