Les livraisons dangereuses
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
h,
fplusag,
fagée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
confession,
Masturbation
Auteur: Michel757, Source: Revebebe
... spectacle de ses seins compressés dans une nacelle de dentelles. Un sillon profond met en valeur ses deux globes, et à chacun de ses mouvements, de petites rides circulaires en dessinent le pourtour.
Ces signes visibles de la maturité, loin de me repousser, redoublent mon désir et je suis maintenant dans un seuil d’excitation critique. J’ai envie d’envoyer promener le vieux Casimir et ses principes et de sauter sur la dame, mais la pensée des conséquences me maintient dans la raison.
« Un cinq contre un » me semble la seule solution immédiate. Madame Duchêne remplit maintenant son bon de commande et je profite du répit pour lui demander le chemin des toilettes. J’ouvre la petite porte qu’elle m’indique, dans le vestibule. Me voici face à la céramique de ses WC, débordant de pensées érotiques.
Et, comme pour attiser mon imagination, je découvre un distributeur de papier hygiénique plutôt original. Le rouleau est attaché à un buste féminin, en tissu rose, avec deux seins énormes enfermés dans un beau soutien-gorge rouge. C’est à la fois réaliste et enfantin. Un message est brodé en fil noir : « À Christiane, notre copine».
Je mate le gri-gri, qui me rappelle étrangement ma belle, en me masturbant nerveusement. La pensée de la dame si proche a vite raison de mon désir et de longs jets blancs maculent la cuvette, s’écoulant en longues traînées. Les spasmes de ma jouissance sont intenses et je serre les dents pour ne pas grogner ni hurler son prénom que je connais ...
... maintenant.
Je reprends mes esprits, m’essuie sommairement et retourne dans le salon. Christiane me tend un bon de commande bien rempli avec son sourire si engageant. Je ne dois pas avoir l’air dans mon assiette car elle me dit :
— J’espère que vous n’avez pas été choqué par mon distributeur. J’ai pris ma préretraite il y a deux mois dans l’atelier AUBANCE. Trente ans à faire des sous-vêtements, ça marque ! Alors mes collègues m’ont fabriqué ce petit souvenir à mon départ, pour que je pense à elles plusieurs fois par jour comme elles disent. Je sais que ce n’est pas de très bon goût mais j’y tiens. Elles trouvent que c’est ressemblant, mais malheureusement je n’ai plus une poitrine de jeune fille.
Je lui jure que je n’ai pas été choqué, je la remercie de son accueil, je ne fais aucun commentaire sur sa poitrine ou autre chose, de peur « du vieux » et je pars sans demander mon reste.
Sur le chemin du retour je repense à cette aventure. L’image de Christiane, de ses formes, de ses sourires, me hante. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé mais rarement je n’ai ressenti un tel désir. Je me repasse le film de ma belle et de ses appâts, à peine entrevus. Je me remémore les petites rides dessinant sa peau rose. Je m’imagine embrassant ses seins, caressant ses fesses, me perdant entre ses cuisses.
À nouveau, une excitation intense me saisit. Je dois m’arrêter une autre fois en chemin pour me masturber à nouveau. Et c’est l’esprit calmé que je reprends ma route quand une ...