Les livraisons dangereuses
Datte: 25/02/2021,
Catégories:
h,
fplusag,
fagée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
confession,
Masturbation
Auteur: Michel757, Source: Revebebe
... pour avoir le cadeau !
Je suis maintenant devant la porte de Madame Duchêne. J’entends derrière sa maisonnette une radio musicale. Je sonne une fois, deux fois. J’attends, sans succès. Un parrainage pour une première journée de prospection, c’est toujours bon à prendre : je me laisse donc guider à l’oreille et contourne le garage. Une petite cour, à l’abri des regards. Un bain de soleil en PVC blanc qui m’éblouit.
Et couchée dessus, une femme qui doit être Madame Duchêne. Elle a les yeux fermés. C’est une femme mûre. La lumière fait ressortir des rides à la base de son cou. Elle ne porte sur sa peau rose qu’une culotte minimale de coton blanc. Les seins sont plutôt abondants, et se tiennent encore bien. Le ventre, légèrement rond, dessine quelques plis, sans doute la rançon d’accouchements. Les cuisses et les jambes sont parfaites, si ce n’est un début de varices.
Mais je m’arrache vite à ma contemplation. Telle la statue du commandeur, c’est la voix du « vieux » qui me revient dans les oreilles :« TOUTAUGEL n’est pas un lupanar… ». Alors je me recule de deux pas pour ne pas être visible de la dame. La radio débite du Michel Delpech. Je tousse deux fois et je demande assez fort :
— Madame Duchêne ?
— Oui, c’est qui ? C’est pour quoi ?
— C’est TOUTAUGEL, je viens de la part de votre voisine.
— Ah oui, attendez une minute. Je fais le tour et je viens vous ouvrir.
Je suis à nouveau devant la porte d’entrée. La dame a enfilé un t-shirt vert. Elle me fait ...
... passer dans son vestibule puis prend l’escalier :
— Attendez-moi un peu, j’arrive, je vais m’habiller, je ne vous attendais pas si tôt.
Moi, je ne peux m’empêcher de mater ses fesses dans la dentelle blanche quand elle monte l’escalier qui doit conduire à sa chambre à coucher, son t-shirt n’est pas si long. Un petit cul qui se tient bien, pour son âge.« Arrête Patrick » me dit une petite voix intérieure« pense à ta prime de vacances ».
Mais le mal est fait, je bande. Heureusement que les combinaisons TOUTAUGEL, en lourd coton gris, sont assez amples, Madame Duchêne ne remarquera pas mon émoi…
La voilà qui redescend. Elle a enfilé un short blanc qui lui arrive à mi-cuisses. Elle a gardé son t-shirt vert, plutôt ample qu’elle a entré dans son short. Il met en valeur sa poitrine, vraiment abondante, que je devine enfermée dans un soutien-gorge qui galbe deux obus.
La dame n’est pas très grande, autour de 1,50 m. Elle est bien coiffée, des cheveux courts qui mettent en valeur un maintien parfait. Des lèvres maquillées sans ostentation. Elle aime donner d’elle une bonne image.
Me voilà maintenant assis au salon, répondant aux questions de Madame Duchêne sur le fonctionnement de notre société. Elle a un sourire enjôleur dont elle use et abuse, ce qui entretient ma protubérance que je dissimule tant bien que mal sous mes catalogues.
À intervalles réguliers, la belle se penche vers moi pour regarder un produit. Le col de son t-shirt ample s’ouvre pour m’offrir le ...